Dans le cadre de la création d’un équipement de cette ampleur de nombreuses procédures administratives doivent menées.
- Dossier de création de la ZAC en 2013
- Dérogation environnementale pour réaliser les travaux de retroussement du près Clotre en 2010 et 2018 pour redonner à la Saône son lit d’expansion
- Modification du PPRNI approuvé en 2022
- L’évaluation environnementale du projet
- Dossier Loi sur l’Eau
- Dérogation au titre des espèces protégées
- Autorisation de défrichement
Les modalités de la concertation sont :
Un avis d’ouverture de la concertation préalable annoncera, 7 jours avant, les dates d’ouverture et de clôture de celle-ci.
Un dossier de présentation du projet et une exposition temporaire sont mis à disposition du public en mairie de Anse de 1er juin au 30 juin aux heures et jours ouvrables.
Il est également mis à disposition du public en mairie de Anse aux heures et jours ouvrables, un registre destiné aux observations de toute personne intéressée.
Un espace numérique est mis à disposition du public pendant la phase de concertation avec registre numérique inclus.
Cette concertation sera portée à la connaissance de la population sur la base des moyens suivants :
Par affichage :
- Affichage en mairie de Anse
- Affichage au siège de la Communauté de communes Beaujolais Pierres Dorées
Par voie numérique :
- Sur le site internet de la Communauté de communes Beaujolais Pierres Dorées
- Sur le site internet du Département
- Sur le site internet du groupe SERL
Par publication dans la presse :
Parution dans deux journaux diffusés dans le département au plus tard sept jours avant l’organisation de la concertation préalable qui précisera l’objet de la concertation, mention sera faite que la concertation est organisée à l’initiative du, la durée et les modalités de la concertation, l’adresse du site internet sur lequel est publié le dossier soumis à concertation préalable.
L’analyse des registres numériques et papier permettront d’éclairer les porteurs du projet sur les attentes vis-à-vis du port.
Documents et ressources
Documents mis à disposition dans le cadre de la concertation préalable sur le Port.
1°) Quatre panneaux résumant les enjeux du projet :
Présentation du projet d’ensemble
Les atouts de la création du port du Bordelan
Les modalités de mise en œuvre de l’aménagement du port
La vie du futur port
2°) L’état initial de l’environnement : Un extrait de l’étude d’impact actuellement en cours est également mis à disposition.
Il convient de préciser que ce dernier est régulièrement mis à jour et sera complété suite à la concertation préalable.
L’étude d’impact dans son ensemble sera mise à disposition du public au moment de l’enquête qui sera diligentée ultérieurement dans le cadre de l’instruction du dossier d’autorisation environnementale unique.
Derniers avis
Toute considération écologique mise à
Toute considération écologique mise à part, j’ai mal à comprendre la justification du projet présenté : à qui cela va-t-il profiter ? quel est le besoin ? à quelle hauteur ?
A voir l’activité nautique sur la Saône j’ai surtout l’impression que le côté port va ressembler à un parking à bateaux à demeures la plupart du temps, accolé à un parking à voitures désert la plupart du temps. (hors week-end / été)
Suffisant pour faire tourner les quelques commerces qui s’y implanteraient ?
(Le pôle d’activés, s’il est justifié ?, peut se faire sans le port.)
Et quel apport pour les commerces existants de Anse et alentours ? Le site en est éloigné : comment les rares plaisanciers qui feront une halte s’y rendront-ils ? et pour y faire quoi ?
Il me semble pas qu’il y ait foule sur les pontons de Trévoux par exemple, pourtant beaucoup mieux situés par rapport à la ville.
Enfin le dossier ne présente pas les alternatives imaginées pour mettre en valeur le site : quelles sont-elles ?
Il y a certainement moyen de proposer des aménagements beaucoup moins impactant pour en faire un site agréable pour les habitants (qui préfèrent se promener dans un site de verdure plutôt qu’artificialisé !), en améliorant l’actuel site de loisirs qui est sous-dimensionné.
Enfin l’embouchure de l’Azergues et ses berges devraient également faire partie du projet d’aménagement.
Le projet de port de
Le projet de port de plaisance fait partie intégrante d’un projet global qui permet de restructurer et organiser un vaste espace dont une grande partie est restée depuis des décennies en déshérence après une longue période d’exploitation d’extraction de graviers et de recyclage de matériaux.
Le projet comprend un secteur de logements qui permettra une mixité des fonctions sur le site et complètera l’offre de logements de la commune pour mieux répondre aux besoins de la population métropolitaine, un secteur d’activités judicieusement situé en bordure de l’autoroute, qui accueillera des entreprises diversifiées amenant une offre d’emploi variée du tertiaire à l’industriel, et un vaste parc naturel dont l’aménagement permettra d’offrir un accès facilité et sécurisé à des espaces de nature indispensables pour la qualité de vie de la population métropolitaine.
Le port de plaisance, qui fait partie intégrante du projet, contribuera à l’emploi local par l’apport des services nécessaires à la plaisance, et participera à l’animation et l’attractivité du site. Mais surtout, et c’est son objet premier, il apportera une réponse aux besoins des nombreux plaisanciers qui aujourd’hui ne disposent pas d’emplacement de stationnement sécurisé, ni des services d’accompagnement nécessaires.
En effet la métropole lyonnaise, avec ses 1,5 millions d’habitants, ne dispose pas aujourd’hui d’un port public digne de ce nom. Hormis quelques ports privés de faible capacité, les ports de plaisance les plus proches sur l’axe Rhône-Saône utilisés par les lyonnais, sont ceux de Mâcon et des Roches de Condrieu. Ces ports imposent par conséquent des trajets en voiture conséquents pour accéder aux anneaux, ils sont en outre aujourd’hui complètement saturés.
Le port d’Anse permettra de réduire l’empreinte carbone de l’activité plaisance en offrant des emplacements plus proches de la zone de chalandise.
Soulignons que les terres excavées lors du chantier viendront remplir des zones d’anciennes gravières, au moyen de dragues aspiratrices ce qui permettra d’éviter le recours aux camions.
L’aménagement de l’ensemble du site est cohérent avec les exigences en matière de biodiversité, l’environnement a été bien pris en compte avec des mesures de renaturation ambitieuses portant sur plus de 20 hectares.
En conclusion le projet de port de plaisance contribuera à l’attractivité et à la qualité du projet global dont les différentes composantes sont complémentaires et équilibrées.
BonjourDans le cadre de la
Bonjour
Dans le cadre de la consultation pour la création du port de Bordelan, il nous a semblé nécessaire de faire remonter plusieurs points :
– Le projet prévoit seulement 11% de berges naturelles. Nous pensons qu’il est possible de faire mieux, de rendre le site plus biogène, plus vivant et plus attractif pour les poissons avec plus de berges végétalisées voire en pente douce, notamment côté est. D’ailleurs, malgré les 11% annoncés, tous les visuels présentés montrent des berges naturelles. Les visuels ne sont ainsi pas du tout représentatifs du projet.
– Il nous semble nécessaire que la rampe de mise à l’eau puisse être en libre accès et gratuite, compte tenu de l’investissement public réalisé.
– Nous souhaitons également de la pêche puisse être autorisée du bord dans l’emprise du port. Il est souhaitable que ces deux éléments puissent être intégrés dans la future DSP du gestionnaire du port afin d’améliorer l’accès de tout public sur ce site.
– Nous nous interrogeons sur l’avenir que la commune souhaite donner à la halte fluviale située à côté du restaurant du Colombier. Cet équipement, actuellement dégradé, n’aurait alors plus d’intérêt.
– Des mesures compensatoires devront être mises en œuvre pour compenser l’impact du projet et de l’augmentation de la navigation dans le secteur. La restauration de zones humides à proximité et la protection des zones végétalisées de bordures semblent nécessaires.
Fédération du Rhône et de la Métropole de Lyon pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique
à notre époque, de tels
à notre époque, de tels projets, pour quelques privilégiés, ne devraient même pas exister
l’argent devrait être plutôt utilisé pour des projets touchant le social, l’habitat et surtout l’écologie
avis totalement contre
Bonjour,Je suis fermement opposé à
Bonjour,
Je suis fermement opposé à ce projet destructeur de biodiversité et inutile. Pour étayer mon opinion, je rejoins l’avis de la LPO AURA (joint ci-dessous).
Rémi Chabert
Contribution déposée le 20 juin 2024
Avis de la Ligue pour la Protection des Oiseaux, AURA – Délégation Territoriale du Rhône, dans le
cadre de la concertation préalable du port du Bordelan
La LPO AuRA a pour objet d’agir a pour objet, sur le territoire de la région Auvergne-Rhône-Alpes, d’agir
ou de favoriser les actions en faveur de la nature et de la biodiversité. La LPO AuRA est agréée au titre
de la Protection de l’Environnement, dispose également de l’agrément « Jeunesse et Éducation populaire
» délivré par le Ministère de l’Éducation Nationale et est habilitée à participer aux débats sur
l’environnement dans le cadre d’instances départementales ou régionales.
A travers les paragraphes suivants nous souhaitons développer notre position sur le dossier de
concertation du projet du port du Bordelan.
Insuffisances sur la justification du projet
La LPO émet de forts doutes sur la justification du projet du Bordelan, que ce soit sur le port fluvial comme
sur les autres programmes projetés. Ce projet implique une consommation importante de foncier non-bâti,
des atteintes fortes à l’environnement et la destruction d’espèces protégées, impliquant qu’il soit justifié
par une raison impérative d’intérêt général majeur.
Les éléments présentés ne sont pas suffisants à cet égard : aucune étude de marché complète et récente
ne vient justifier l’opportunité de réaliser un port fluvial d’ampleur, ou démontrer que sa réalisation répond
à une nécessité d’intérêt général. Aucun site alternatif n’est présenté, alors qu’au moins une partie de la
programmation, correspondant à des activités économiques, pourrait être positionnée dans des espaces
présentant des incidences moindres sur l’environnement. La création d’emplois potentiels seule ne
constitue pas une justification suffisante eu égard à l’importance des impacts sur l’environnement.
De nombreuses carences dans le dispositif de concertation
Nous jugeons également que la mise en œuvre de la concertation par le SMB ne répond pas aux
obligations de l’article L 103.4 du Code de l’Urbanisme précisant que “les modalités de la concertation
permettent, (…), au public d’accéder aux informations relatives au projet et aux avis requis par les
dispositions législatives ou réglementaires applicables et de formuler des observations et propositions
qui sont enregistrées et conservées par l’autorité compétente” en raison des insuffisances des pièces
présentées dans le dossier de concertation :
• Insuffisance des informations du dossier de concertation : Le dossier de présentation du projet,
d’un format en 4 pages, est trop peu détaillé pour formuler un avis éclairé. Le projet n’est pas
présenté dans son ensemble. Des informations essentielles manquent à la bonne compréhension du
projet : identité du MOA, historique, justification du choix du projet et alternatives envisagées, étapes
et délibérations précédentes, plan de situation, contexte territorial, articulation avec les documents
d’urbanisme et effets cumulés, procédures applicables, budget et plan de financement, programme
détaillé …
• Une concertation non sincère : selon la jurisprudence du Conseil d’Etat (CE 6 mai 1996, Assoc.
Aquitaine alternatives, req. n°121915), “ la concertation préalable doit être conduite avant que le
projet ne soit arrêté dans sa nature et ses options essentielles et que ne soient pris les actes
conduisant à sa réalisation”. Or, le dossier du porteur de projet ne présente aucune variante sur les
alternatives de localisation ou de conception. Les options essentielles semblent d’ores et déjà avoir
été définies. Par ailleurs, le planning synthétique semble ne laisser aucune place à l’évolution du
projet suite à la concertation (choix du gestionnaire défini en 2024).
Des ambitions “biodiversité” trompeuses
Un des panneaux de concertation affirme que le SMB souhaite aller “au-delà des obligations légales
ERC pour protéger la biodiversité du site” mais n’en précise pas le contenu. La suite du paragraphe
précise qu’une dérogation espèces protégées sera demandée et que les mesures seront mises en
œuvre avant les travaux, ce qui est simplement l’application des obligations légales. Ainsi, l’affirmation
disant que le SMB “veut aller au-delà des obligations légales (…) ” n’est pas justifiée.
Les panneaux d’information rappellent la 1e phase de compensation écologique, des exemples
d’espèces protégées impactées ainsi que les engagements ERC du maître d’ouvrage. Il est précisé que
“les collectivités (…) s’engagent à entretenir les zones compensées du 50 ans minimum”, ce qui fait
référence aux mesures de compensation. Toutefois, les mesures ERC (Eviter – Réduire – Compenser)
ne sont présentées ni dans ces panneaux ni dans l’état initial environnemental. Cette mention laisse
supposer que les mesures ERC sont déjà définies mais non divulguées. Nous supposons donc une
rétention d’information, qui empêche donc que le public puisse formuler un avis éclairé, dans l’esprit
d’une concertation préalable.
Il est important de rappeler que des mesures ERC ont déjà été prévues lors de l’aménagement de la
phase 1 du projet (terrassement de la partie Ouest du site) mais n’ont pas été mises en œuvre de
manière satisfaisante. Les services de la DREAL ayant constaté des non-conformités sur leur
réalisation, ont établi un rapport en manquement du 25 septembre 2023 suivi par une mise en demeure
le 16 février 2024 contraignant la SERL, maître d’ouvrage délégué du SMB, de procéder à la
régularisation administrative des travaux de retroussement de la plate-forme des « Prés Clôtres » (ZAC
du Bordelan phase I) sur la commune d’Anse (69).
Ces manquements témoignent du manque de considération des enjeux environnementaux par le
porteur du projet et incitent à une grande prudence sur la réalité de la mise en œuvre des
mesures annoncées. A ce titre, des mesures réelles d’évitement des impacts les plus importants
doivent être mise en œuvre, dont la remise en question de la programmation présentée du projet
et limitant au maximum les programmes présentant des incidences sur des espaces sensibles, et
la suppression des programmes pouvant être localisés dans des secteurs présentant des
incidences moindres.
Sur l’état initial environnemental :
Il est très surprenant de fournir un état initial environnemental (EIE) incomplet, et détaché de la
programmation du projet et de ses mesures ERC. Un dossier de concertation est un document
synthétique qui doit présenter les grands enjeux du projet. L’EIE présenté ici n’est pas facilement
accessible au grand public : enjeux écologiques relevés dispersés dans les rappels réglementaires,
absence de résumé non technique et tableau de synthèse trop peu explicite
Certains éléments fondamentaux ne sont d’ailleurs pas actualisés, par exemple l’analyse de la
compatibilité avec les derniers documents d’urbanisme révisés. Par ailleurs, la qualité des inventaires
menés est insuffisante. Nous pouvons par exemple citer les carences suivantes :
• En premier lieu la liste des espèces identifiées pour l’analyse des impacts se base en grande
partie sur les données de la LPO récolté jusqu’en 2016, mais n’a pas pris en compte les données
récoltées depuis cette date et pourtant transmises et consultables sur le site de l’ORB. Pour ne
citer que quelques exemples, Le Pic Noir, la Pie grièche écorcheur ou encore le Râle d’eau ont
bien été observés par la LPO entre 2021 et 2024 sur le site avec des indices de nidification pour
plusieurs d’entre elles.
• Aucune présentation de la méthodologie utilisée pour l’inventaire acoustique des Chauves-souris.
Il n’est pas fait mention du nombre de soirées et d’heures d’écoute, ce qui confère aucune valeur
d’évaluation au nombre de contacts mentionnés par espèce. Un protocole standardisé, associé à
un référentiel d’activité permettant d’évaluer l’attractivité des chauves-souris a été développé par
le MNHN, et représente le minima pour une évaluation de ce type. De plus, le tableau d’analyse
des enjeux comporte des incohérences, notamment concernant le Murin de Bechstein. La
cartographie d’habitats démontre la probabilité de gîtes sur l’aire d’étude, et son statut de
conservation national et régional étant particulièrement dégradé, rien ne justifie que l’enjeu soit
évalué comme « Faible ». Il en est de même pour la Noctule de Leisler ou le croisement entre
milieu et statut devrait conduire à une évaluation de l’enjeu plus important. La sous-évaluation de
ce groupe, en premier lieu au niveau de la méthodologie est d’autant plus problématique que les
études menées en 2022 et 2023, sur le site Natura 2000 du Val Saône situé dans la continuité
amont du site ont montré l’importance des milieux humides et prairies du Bord de Saône pour les
chiroptères d’un très large périmètre. Aucune évaluation de l’impact sur les territoires de chasse
(et par conséquent la ressource alimentaire) n’est réalisée ce qui est un manque substantiel de
l’évaluation.
• Les espèces de mammifères difficilement détectables comme la Loutre d’Europe, auraient dû faire
l’objet de prospection par ADN environnemental, étant donnée la grande difficulté d’identifier la
présence de ces espèces pas simple recherche d’indices. De plus, le castor et la loutre sont
considérés comme présents sur la commune comme l’indique l’arrêté préfectoral suivant :
2021xx_AP2021-A73_Castor_Loutre.pdf (rhone.gouv.fr). Etant donnée la difficulté de déceler sa
présence, le principe de précaution devrait conduire à sa considération comme présente.
Ce recensement des insuffisances est non-exhaustif : de nombreuses carences ont été relevées dans le
reste du dossier.
La LPO rappelle les forts enjeux écologiques du secteur du projet, qui sont insuffisamment développés
dans le dossier de concertation :
• Le site du Bordelan est identifié comme un site à enjeux pour la biodiversité par l’ensemble de la
communauté naturaliste et un milieu unique si l’on se place à l’échelle de la CCBPD. Il est déjà
isolé entre les zones fortement contraintes de Villefranche et Arnas alors qu’il constitue le dernier
écosystème de ce type, encore fonctionnel sur le territoire.
• Il représente une continuité écologique Nord Sud importante pour de nombreuses espèces, en
lien avec le site Natura 2000 du Val de Saône, situé en amont. Cette zone est identifiée au
SRADDET.
• Il présente des milieux diversifiés fréquentés par de nombreuses espèces protégées, et supporte
des fonctionnalités écologiques importantes : zone de chasse, d’alimentation, de reproduction,
de déplacement…Réaliser le projet tel qu’il est conçu signifierait une extinction des fonctions
écologiques du site : le fonctionnement du Bordelan en tant qu’espace naturel disparaîtrait.
Au regard des enjeux écologiques majeurs du site, la LPO se positionne contre le projet du port
fluvial du Bordelan tel qu’il est présenté et appelle le maître d’ouvrage à reconsidérer
l’opportunité du projet et ses modalités de réalisation.
Groupe Alerte et Veille Écologique
LPO AURA – délégation Rhône
Un projet de requalification de
Un projet de requalification de friche attendu depuis longtemps et fort judicieux
Un vrai port de plaisance avec tous services de réparation, entretien,… s’impose près d’une agglomération qui ne dispose que de haltes nautiques et de ports privés saturés. Un port à sec est bienvenu. Il faudra préserver les capacités d’accueil de grands bateaux pour éviter de voir le bassin à flot déserté en hiver . Des commerces de proximité sur place seront indispensables , en sus de ceux du centre ville.
Ce projet est bien équilibré dans ses fonctionnalités :
-fonctionnalité économique avec une vingtaine d’entreprises pour valoriser l’emploi local sur un foncier rare et à préserver
-fonctionnalité de logement dans un périurbain en forte croissance
-biodiversité riche et très bien prise en compte dans le projet , avec une zone d’expansion de Saône au bénéfice des écosystèmes et de la possibilité de les faire découvrir avec des sentiers découvertes comme le font très bien certains centres permanents d’initiation à l’environnement . Ne respecte-t-on pas mieux ce que l’on connaît? Le temps de la nature sous cloche est révolu et un peu d’intelligence doit permettre d’y intégrer l’homme.
Ce projet est constitué de
Ce projet est constitué de plusieurs volets qui se complètent géographiquement et financièrement, il prend sa place dans un environnement de fort contraste : L’opération de zone économique adossée à l’autoroute se justifie parfaitement ainsi que celle des logements qui bénéficieront à la fois d’une protection sonore et d’un point de vue remarquable. Quoi de plus calme qu’un port de plaisance et que les espaces naturels en bord de Saône.
Ce projet va redonner à ce secteur des valeurs à la fois économique, touristique et naturelle ce que les extractions de granulats n’auraient pas permis.
La réalisation des différents volets du projet créera un ensemble diversifié pour les occupants locaux et attractif pour les métropolitains, ce qui renforcera son équilibre financier pour l’avenir.
Le port de plaisance participera à l’animation et l’attractivité du site. Mais surtout, et c’est son objet premier, il apportera une réponse aux besoins des nombreux plaisanciers qui peinent à trouver un emplacement de stationnement sécurisé et proche de Lyon.
Les dispositions retenues pour les travaux, dont le transfert des matériaux extraits par une drague aspirante directement vers les anciennes gravières est remarquable d’un point de vue environnemental.
Toutes les mesures environnementales que la réglementation exige, sont prise en compte, y compris les évolutions depuis l’origine du projet il y a environ 20 ans. L’état initial de l’environnement fait l’inventaire des points sensibles auxquels le projet se doit de répondre. Les mesures compensatoires sont là et les espaces de régénération de zones naturelles vont largement compenser les impacts des travaux et des aménagements qui en découlent.
En conclusion le projet de port de plaisance contribuera à l’attractivité et à la qualité du projet global dont les différentes composantes sont complémentaires et équilibrées. Le bilan global permet de constater que ce secteur sera largement mieux protégé et aménagé après qu’avant.
Gilles DUREL
Président de PROMOFLUVIA
Port fluvial du Bordelan à
Port fluvial du Bordelan à Anse : le projet d’un monde révolu
Nous sommes totalement en phase avec les avis défavorables publiés jusqu’ici, qu’ils soient individuels ou collectifs via les nombreuses associations représentatives ayant fourni des contributions amplement documentées.
Soulignons que ces associations ont pour souci la défense des biens communs que sont l’eau, l’air et les sols, le respect de la biodiversité et la lutte contre le changement climatique et pour la justice sociale.
Elles comptent des centaines de membres qu’il sera légitime, par souci d’honnêteté, de rajouter au nombre des contributeurices.
À la lecture de ces contributions, une majorité incontestable se dessine contre le projet … et comment pourrait-il en être autrement à un moment où les scientifiques ne cessent de nous alerter sur les menaces environnementales et climatiques nécessitant un changement radical de notre mode de vie ?
Le dossier du port fluvial d’Anse coche malheureusement toutes les cases d’un grand projet inutile car d’un autre temps, et, de surcroît imposé, mettant en lumière un indéniable déficit démocratique se rajoutant aux graves lacunes déjà évoquées dans d’autres contributions, notamment en matière environnementale et économique.
Que des élu.es présumé.es responsables s’obstinent à entretenir un modèle qui a déjà gravement nui à notre planète constitue déjà une folie. Mais quand iels imaginent un projet depuis des années sans que la population (à part une poignée de privilégiés, bénéficiaires directs) en soit informée, cela nous interroge sur l’idée qu’iels se font de la démocratie. Il aura fallu qu’une obligation légale impose cette concertation pour que des informations soient enfin divulguées au grand public de façon organisée. Mais que dire de la qualité de ces informations, parfois incomplètes ou carrément absentes comme le souligne, entre autres, la contribution de France Nature Environnement ! Nous ne sommes pas loin du déni de démocratie.
Étant toutefois d’un naturel optimiste, nous espérons que l’ensemble des contributions sera lu attentivement et surtout que cela déclenchera un sursaut salutaire de la part de celles et ceux qui sont censés gérer au mieux les intérêts de leurs concitoyen.nes. En d’autres termes, nous attendons des suites concrètes à cette concertation. Les citoyennes et citoyens de ce territoire doivent maintenant être sollicité.es de façon beaucoup plus approfondie sur le bien-fondé du projet et surtout convié.es à travailler sur les alternatives possibles et la meilleure façon d’aménager le site du Bordelan pour le bien de tous.tes et non de quelques privilégié.es.
Alors, nous disons à nos élu.es : il est encore temps de changer !
Écoutez vos concitoyen.nes, ils fourmillent d’idées et de propositions !
Organisez des ateliers, écoutez les propositions, travaillez-les avec vos services : l’intelligence collective n’est pas un terme creux pour qui veut vraiment faire oeuvre utile !
Vous sortirez par le haut du bourbier dans lequel vous êtes englués.
Vous marquerez positivement l’Histoire de notre territoire.
Nos enfants et les vôtres vous en remercierons.
Hélène et Bernard REDON
Villefranche sur Saône
Avis contre ce projet: Il
Avis contre ce projet: Il devient urgent d’arrêter d’imperméabiliser des sols, de détruire les milieux humides, les zones naturelles, les habitats d’une faune et d’une flore menacées.
Il est temps de bien les protéger et de les préserver. Non à ce projet d’artificialisation.
Ce projet est un désastre
Ce projet est un désastre écologique. Dans le contexte de dérèglement climatique il est temps que les élus priorise la biodiversite et la non artificialisation des sols plutôt que le développement économique et ce, pour la survie de tous !Voyez à long terme et non juste votre mandat! C est votre rôle d’ élu
ARGUMENTAIRE CONTRE LE PROJET DE
ARGUMENTAIRE CONTRE LE PROJET DE PORT AU BORDELAN D’ANSE
I Coût financier
Au départ prévu à 25 millions, ce projet est arrivé à 40 millions d’argent public. 14 ha de zone commerciale et artisanalo-industrielle créerait quelques emplois, certes. Mais :
– avec 3 000 milliards de dettes, des impôts toujours en baisse pour les plus fortunés ( impôts dont un tiers sert à soutenir des entreprises ne se préoccupant pas des Français mais de leurs actionnaires ), des services publics devenant inexistants (ce qui pousse à un vote extrême et est un danger pour notre démocratie), est-ce vraiment le moment de bâtir un port de plaisance pour 500 privilégiés ? À l’heure où la moitié des Français au moins ne peuvent se nourrir comme ils le souhaitent et courent après les économies ? Cela ne serait-il pas ressenti comme un cadeau de plus aux plus riches et aux entreprises du BTP, les plus privilégiées par les subventions publiques ?
De plus, ces cinq cents anneaux seraient-ils réellement occupés H24 ? On peut en douter, étant donnée la rareté des petits bateaux à moteur sur la Saône. Si les gens peuvent les stocker chez eux, vont-ils tous payer pour un anneau ? Cette installation ne deviendrait-elle pas un « éléphant blanc », un aménagement inutile ?
II Coûts écologiques (et financiers à plus ou moins long terme)
A Risques de crues
Extrait d’un article du Patriote entre 2020 et 2014 :
« La zone de 14 ha d’aménagements artisanaux et commerciaux et l’ha de bâtiments d’habitations se trouve sur des remblais issus de l’activité du BTP, dont une partie aurait été déposée au-delà du volume légalement prévu.
Autrefois situés en zone inondable dans le lit majeur de la Saône, et donc inconstructibles, ces terrains désormais municipaux ont aujourd’hui une valeur financière importante. La construction après remblaiement du lit d’une rivière pose également des questions sur le plan écologique. Pourtant, malgré l’avis négatif rendu un commissaire-enquêteur en 2010, le préfet du Rhône a signé l’arrêté permettant au projet de se poursuivre, et aucun recours n’a été engagé devant un tribunal administratif . »
Extraits du SDAGE 22-27 :
« page 51 : Orienter fortement les financements publics dans le domaine de l’eau vers les politiques de prévention »
« page 333 : Éviter les remblais en zone inondable ».
Petit rappel :
-la crue de 1840
-la crue du Morgon en janvier 2008
-la limite de la crue de 1711 marquée sur une porte de ville à St Bernard et se situant à 20 cm au-dessus de celle de 1840.
Les remblais, même tassés, résisteraient-ils à une crue milléniale ? Et aux sécheresses récurrentes ?
Les assureurs rechignent de plus en plus à assurer les bâtiments en zone inondable ou à risques géologiques. Qui paiera en cas de crue ? Les contribuables en ont assez, en tout cas,
B Risques pour la biodiversité
L’arasement d’une partie de la roselière au nord du grand plan d’eau, des petits bois qui avaient bien recolonisé les remblais et des grandes plantations de peupliers ont fait disparaître des hectares d’abris pour la faune. La disparition de l’étang des Communaux et des quelques fourrés restants, la bétonisation des remblais ne vont certainement pas l’aider non plus.
Alors que 80 % des oiseaux ont disparu à cause de la pollution tuant les insectes, et à cause de l’anthropisation des zones naturelles, détruire un peu plus pour un projet très discutable est-il raisonnable ? En plus, cela va à l’encontre des préconisation de l’État via le SDAGE.
Les traces de castors sont présentes depuis quasiment le pont sur l’Azergues dans Anse jusqu’au plan d’eau de Bordelan (au moins). Le dérangement présenté par la destruction d’un peu plus de nature va concerner les oiseaux migrateurs utilisant le grand plan d’eau comme étape.
D’après une carte du SDAGE 2010, la zone au nord de Anse est un grand corridor écologique, ce qui est prouvé par les observations régulièrement faites sus-citées. Et une carte du SDAGE 22-27 rend compte de la vulnérabilité au changement climatique pour l’enjeu biodiversité.
Ce qui nous amène à :
C Accroissement des risques avec le changement climatique
Bétonner toujours plus pour gagner toujours plus (devise du BTP). Le problème, avec le béton, c’est la conservation de la chaleur et donc l’accroissement du réchauffement en zone urbanisée. Ce que n’ont pas compris beaucoup d’édiles qui continuent à couper des arbres centenaires dont les houppiers n’avaient pas précisément la petite incidence sur la chaleur en ville de petits arbres à peine plantés, mais permettaient un rafraichissement très net ( au moins 5 degrés ) de l’atmosphère autour d’eux.
Donc, construire encore plus d’entrepôts ( en n’installant surtout pas de panneaux photovoltaïques dessus, ce serait trop intelligent ), avec encore plus de goudron pour les voies d’accès, est -ce vraiment raisonnable dans un monde à plus d’1,6 ° ? Avec 45 à 50 ° en Inde en mai 2024 ? Dire comme le font certains qu’on va recourir à la climatisation fait vraiment penser au Sapeur Camembert !
D’autant plus que les friches industrielles sont encore très nombreuses, et que les entrepôts immondes qui font vraiment « la France défigurée » sont plein de vide et pourraient être terriblement réduits. Et surtout construits en autre chose que du métal, très chaud quand il fait chaud (toutefois, témoignage d’une isolation en chanvre sur l’un des bâtiments de la zone commerciale nord-ouest de Villefranche).
Le GIEC nous prévient : non seulement il fera (fait) plus chaud, mais les épisodes extrêmes vont encore plus s’accroître. Donc, des sècheresses entraînant des retraits d’argiles et cassant les bâtiments, et des inondations disloquant les remblais et leurs constructions vont s’accroître.
Le SDAGE 22-27 insiste sur la nécessité d’adaptation au changement climatique. Les 40 millions ne seraient-ils pas mieux utilisables ?
III Dévoiement du projet
Comme dans les autres ports français, le nombre de jours de sortie à l’année d’un bateau a toutes les chances de tourner autour de trois. Les bateaux, comme dans beaucoup de cas, servent de logements de loisirs et sortent très peu. En fait, l’argent public paierait des résidences secondaires à moindre coût à des Français de classe aisée, pouvant jouir de vacances loin de chez eux, contrairement à la moitié au moins de nos compatriotes. Là aussi, l’argument des emplois créés ne tient pas : emplois de services sous-formés et sous-payés ne font pas l’avenir d’un pays ; ce serait le cas des personnes travaillant au port et dans les services proposés autour.
SOLUTIONS POUR L’UTILISATION DE CES FINANCES
Avec quarante millions d’euros, il est possible d’installer quatre-vingts agriculteurs et leur famille sur de petites fermes en polyculture. Les révoltes du monde agricole de l’hiver 23-24 ont insisté sur la nécessité de remplacer au plus vite les futurs retraités de l’agriculture, de payer correctement les producteurs, de baisser l’utilisation d’intrants ( 8 calories de pesticides et d’engrais pour 1 calorie produite ). Les fermes bio en polyculture ont besoin de main-d’oeuvre et doivent être aidées afin de moins nous tuer à coups de pesticides et d’engrais induisant cancers et autres, surtout chez les agriculteurs d’ailleurs. Et cela irait aussi dans le sens de la politique demandée par le SDAGE 22-27 (voir cartes des zones polluées). Ce sont des dizaines, voire centaines d’emplois qui seraient ainsi créés, dans la transformation, le transport et le commerce des produits agricoles. Le Rhône est un département bien pourvu en fermes à reprendre, les millions seraient donc utilisés localement. La Région serait contente.
Favoriser un tourisme vert destiné à la découverte des richesses naturelles de la zone du confluent de l’Azergues : ce projet, réfléchi et bien mené, amènerait un tourisme tout aussi enrichissant que la plaisance fluviale (allier les deux avec de petites embarcations est aussi possible). Anse est situé à une lisière géologique, floristique et faunistique intéressante. L’Azergues constitue une jolie voie. Favoriser la replantation de haies sur les chemins entre les champs, en face de Trévoux, créerait de très intéressants circuits pédestres et cyclistes, qui enrichiraient la Voie bleue. Celle-ci est très parcourue une bonne partie de l’année, ces touristes là aussi mangent et dorment. Au lieu de haltes fluviales toujours vides, ne serait-il pas plus intelligent de remettre en train les campings de Montmerle et de Jassans ? Et de soutenir celui de Anse ?
CONCLUSION
L’ère des grands projets inutiles est finie. Le BTP et l’État doivent se concentrer sur l’isolation des bâtiments, indispensable à la survie des populations les plus fragiles. Végétalisation des villes, remise en état des conduites d’eau, réutilisation des déjections humaines, traitement des eaux usées pour leur remise en circuit, agriculture biologique, aménagement de voies cyclables et de transports en commun, remise en état de vingt mille ponts dégradés, recyclage des matériaux …… les sources de finances vertes et pérennes, et d’emplois, sont énormes, alors pourquoi privilégier des solutions mortifères ? Nous ne pouvons plus vivre comme en 1960. C’est fini. Nous sommes trop nombreux, puisque aucune politique intelligente de planning familial n’a été menée depuis 45 ans, nous avons gaspillé et presque tué la planète, nous devons maintenant réparer. Tous les « pipis nerveux » des politiques et des industriels n’y pourront rien.
Un fait est un fait.
Et un site aussi poétique que l’étang des Communaux n’a-t-il pas aussi le droit de vivre, autant que les actionnaires des cimentiers ? Ce site est l’un des plus beau coin de l’agglomération, la beauté est aussi un Droit de l’Homme. Les Ansois seraient certainement déçus de voir disparaître un de leur plus joli point de repos.
Encore un espace naturel qui
Encore un espace naturel qui risque d´être transformé en site touristique, pour le bonheur de qui ? Qui va en retirer des bénéfices financiers ?
Je suis farouchement opposé à tout projet d’aménagement du site de Bourdelan.
Quel est l’utilité de dépenser
Quel est l’utilité de dépenser de l’argent PUBLIC pour installer des bateaux qui, de l’aveu même de M. Pomeret, ne sortiront pratiquement jamais du port ? D’ailleurs, aucune pompe à carburant n’est prévue pour ravitailler les navires !!
Ayant ramé sur la Saône pendant près de 20 ans, je connais le trafic de loisirs (à peine un bateau par km, surtout pour la pêche). D’ailleurs, la Saône ne pourrait pas supporter un trafic loisir de 350 bateaux en mouvement qui gênerait le trafic commercial dans une zone de navigation délicate (virage à 90° de la Saône et confluent avec l’Azergues).
Donc, ce port n’a d’autre utilité que de permettre à quelques uns d’avoir une résidence secondaire flottante, petite, inconfortable et très chère ! bref, un signe extérieur de richesse pour frimer dans les dîners en ville, mais en fait un camping sur l’eau en version snob !
Ce caprice de nanti ne justifie pas la suppression du plan d’eau actuel, ombragé et régulièrement utilisé par les familles et qui est, à mon humble avis, le plus beau site de la commune d’Anse accessible à tous..
Un bateau au port pollue, par ses peintures, les détergents utilisés par son nettoyage, les eaux grises pas toujours récupérées et traitées… le tout multiplié par le nombre d’anneaux.
A proximité immédiate de la zone concernée, on trouve des espèces animales patrimoniales comme le castor et elle constitue un hot spot bien connu des ornithologues, sans oublier qu’elle fait partie d’un corridor écologique dûment répertorié.
Le dérèglement climatique, l’épuisement des ressources énergétiques fossiles et les risques de conflits armés rendent un tel projet d’aménagement non seulement irresponsable mais carrément ridicule quand on sait (pour moi, depuis le rapport Meadows de 1972) que la fête est bientôt finie et que notre niveau de vie va s’effondrer d’ici 2050 au plus tard.
Un homme politique qui aurait une vision à long terme (rêvons un peu) devrait investir dans ce qui permettra de limiter l’ampleur de la catastrophe et pas dans un projet des 30 glorieuses pour faire plaisir à une minorité.
Je suis absolument opposé à
Je suis absolument opposé à ce projet aberrant !
Il ne va intéresser qu’un tout petit nombre de personnes, au maximum 350 possesseurs de bateaux, donc une classe de privilégiés.
Il va occasionner la destruction d’une zone humide, alors que la biodiversité s’effondre et que les zone humides sont essentielles pour leur protection.
Des arbres, dont certains centenaires, des espèces végétales remarquables et protégées vont être sacrifiés.
Une grande zone (15ha?) va être bétonnisée alors qu’il faut aujourd’hui aller vers une artificialisation des sols nulle. (cf le dérèglement climatique).
Dérèglement climatique qui occasionne de plus en plus et de manière de plus en plus importante des crues et des périodes de sècheresse. Quiz de la Saône dans les décennies à venir ?
La grande quantité de touristes attendu par ce projet va s’ajouter à l’hyper-fréquentation du plan d’eau du Colombier tout proche. Ce qui va augmenter considérablement les émissions de GES (gaz à effet de serre); 90% des gens viennent en voiture qui ne pas toutes électriques.
Le trafic des bateaux va engendrer des pollutions de la Saône.
Ce port et toutes les infra-structures attenantes, hôtels, immeubles d’habitation, ZAC, vont certainement perturber les oiseaux présent sur les zones Natura 2000 voisines.
Un bonne partie des espèces animales présentes sur le site seront déloger voire éliminées.
En conclusion ce projet coche toutes les cases qui vont à l’encontre de ce que nous devrions faire aujourd’hui pour lutter contre le dérèglement climatique, la perte de la biodiversité et la justice sociale.
Ce projet n’a aucun sens
Ce projet n’a aucun sens ! Nous avons besoin de décideurs qui évoluent en adéquation avec les problématiques du vivant et qui prennent des décisions éclairées! Préservons nos zones humides, il en va de l’avenir de tous : humains et non humains !
Cette zone un intérêt important
Cette zone un intérêt important pour de nombreuses oiseaux migrateurs ou sédentaires de même que la zone des gravière du au nord d’une importance presque vitale, en conséquence je m’oppose projet de port sur le bodelan
Pour la prise en compte
Pour la prise en compte de l’avis du collectif des associations de défense et préservation de la biodiversité du site.
Notamment la mise à jour des études pour l’impact sur le climat et la zone faune/flore.
Les enjeux environnementaux ne doivent pas être pris à la légère, surtout si une alternative plus respectueuse de la nature peut être envisagée. Le projet n’en sera que plus valorisé et valorisant pour le territoire.
Comment avez-vous dimensionné ce projet
Comment avez-vous dimensionné ce projet de port? En effet, de mon point de vue, ce projet de port avec 300 places en eau et 100 places « à sec » est largement surdimensionné par rapport à la demande des citoyens.
De plus, au vu des crises climatiques et de la biodiversité, il est plus que nécessaire de réduire au maximum notre impact sur la nature. Or ce projet va bien évidemment avoir un impact important sur l’artificialisation des sols, la pollution des eaux et la destruction d’écosystèmes comme d’une zone humide vitale pour le vivant. Pour preuve l’état initial environnemental mentionne plusieurs espèces, dont des espèces protégées, qui seront modérément voire fortement impactés par ce projet.
Bien que l’état initial environnemental est bien documenté, il faudrait le mettre à jour et le compléter avec des inventaires mycologique et des mousses/lichens qui sont bien trop souvent « oubliés » alors qu’ils ont un rôle primordial.
Pour conclure, pour toutes ces raisons, je pense qu’il faut arrêter d’urgence ce projet et faire une réelle concertation publique avec les citoyens du département pour connaitre les besoins et proposé un projet correct en adéquation avec la biodiversité.
Avis défavorable Ce projet est
Avis défavorable
Ce projet est un désastre écologique
Il est plus que temps
Il est plus que temps d’arrêter l’artificialisation des milieux naturels! Les dégâts sont colossaux et nous le voyons tous les jours par le dérèglement climatique, la difficulté grandissante à cultiver sur des sols « morts »… qu’attendons-nous de plus pour arrêter cette course folle? L’être humain n’est pas plus fort que la nature et s’il l’abîme, il en paie le prix fort!
Ce projet n’a plus lieu
Ce projet n’a plus lieu d’être. Favorisons les espaces sauvages, riche en biodiversité qui nous apportent beaucoup, même si ce n’est pas visible en terme de tourisme ou d’activités économiques. Ce sont des poumons d’air sain et frais dont nous avons absolument besoin.
Peut-on arrêter les propositions de consommation à tout va pour bénéficier de lieu ressource, sauvage dont nous allons avoir besoin d’autant plus avec le réchauffement climatique.
Très beau projet porté par
Très beau projet porté par des générations d’élus tous de plus en plus soucieux de l’environnement.
Le SCOT Beaujolais a intégré dès sa première version ce projet en faisant un pôle majeur pour le territoire.
Ce port sera un atout indéniable pour le territoire tant au point de vue touristique qu’économique.
Impossible de donner un avis
Impossible de donner un avis sans transparence des informations
A l’heure de la surchauffe de la planète, alors que l’Etat s’est engagé dans un objectif de zéro artificialisation nette, dans la loi « Climat et résilience » du 22 août 2021, les collectivités locales ont un rôle à jouer. De tels projets pharaoniques pour des loisirs polluants, destinés à quelques privilégiés, ont-ils vraiment encore lieu d’être ? Dans un contexte d’effondrement du vivant et de profonds chamboulements climatiques, ce projet écocide ne devrait-il pas être transformé en un espace de contemplation de la nature éventuellement un sentier de découverte de la biodiversité ordinaire pour les habitants. La nature est et doit rester un bien commun, pour tous et ne pas être annexée au profit de quelques-uns…
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Le dossier de la concertation ne permet pas de prendre la mesure des impacts du projet. Le document d’études présenté (État initial du projet, daté de mars 2024) est d’ailleurs estampillé « Provisoire ».
Sur le fond, au-delà des impacts mentionnés dans le dossier sur des espèces protégées, la nature dite ordinaire, même si elle n’a pas officiellement de statut de protection, doit être impérativement protégée pour maintenir des fonctions essentielles, comme la régulation des flux hydrauliques, la pollinisation, la protection des cultures, le recyclage des matières organiques et le bon fonctionnement des écosystèmes… Cette biodiversité « ordinaire » n’est pas prise en compte dans le dossier et l’impact de la destruction de nombreuses espèces est jugé « Faible ». A titre d’exemple, les pollinisateurs sauvages, dont on connait l’effondrement des populations, ne sont pas pris en compte.
Les mesures compensatoires envisagées ne sont pas précises et, en l’état, laissent entrevoir une très faible prise en compte des différents milieux détruits par le projet.
Je souhaite avoir accès à une étude complète pour donner un avis éclairé sur le projet.
Non au Port du Bordelan,
Non au Port du Bordelan, un projet élitiste et anachronique qui va détruire des zones naturelles très riches en biodiversité, des espèces animales protégées. Ce projet semble avoir un intérêt économique et touristique largement surestimé. Il apportera, par contre, un impact carbone très négatif, des nuisances sonores et des pollutions aux hydrocarbure. Je demande, avec les associations et organisations environnementales et écologiques, à travailler à des projets alternatifs écologiques et sociaux qui répondent aux enjeux actuels sur le climat mais aussi à la justice sociale et environnementale.
Alain DUCHAMP
DÉFAVORABLE !Projet bétonné, intrusif, destructeur
DÉFAVORABLE !
Projet bétonné, intrusif, destructeur sur terre et dans l’eau, un projet d’un autre temps !
Qui aura envie de passer ses vacances à côté d’une autoroute aussi empruntée que l’A6 ? Car il faut bien se rendre compte que le complexe est en bordure immédiate de l’autoroute. Qui aura envie de flâner sur son bateau au son des embouteillages ? Pourquoi continuer à promouvoir la navigation motorée sur la Saône qui reste une rivière encore un tant soit peu saine ? Ouverture prévue en 2029, les mentalités auront encore évoluées, peut-être vers davantage d’éco-comportements, vous risquez un fiasco de plusieurs millions d’euros et vous embarquez les ansois dans votre délire. Vous êtes irresponsables. Et c’est avec le peu de cordialité que vous m’inspirez que je vous le dis.
Ce projet est d’un autre
Ce projet est d’un autre age et ne peut que nuire à la biodiversité, ce budget pourrait probablement être utilisé à des fins plus vertueuses! On ne peut jamais compenser ce qui a été détruit!
Ce secteur a toujours été
Ce secteur a toujours été l’objet de projets les plus délirants. Déjà courant les années 1970, il était question de créer deux immenses coupoles, l’une présentant la vie équatoriale, l’autre celle des pôles. Le délire continue et de façon de plus en plus grandiose et boulimique.
Il n’est pas honnête de présenter un projet à la concertation avec des fonds de carte plus que périmés, jamais en tenant compte de la situation actuelle des exploitations de granulats au nord du projet. On verrait que l’étape suivante consistera à grignoter d’autres surfaces.
J’aimerais bien lire l’avis de l’Agence de l’Eau RM et Corse sur ce « déplacement » volumineux de boue que l’on nous dit inerte alors qu’il y eu des dépôts polluants. Partir sur le niveau de cru de 1982 est irréaliste. La plaine de Saône amont a été considérablement bâti depuis et une crue de même ampleur aura de tout autre conséquence si elle revenait. Et qui peut prédire qu’il n’y aura pas une crue encore plus sévère dans l’avenir.
Il y a une malhonneté profonde à solliciter un avis sur un projet dit provisoire avec des élèments non disponibles à la connaissance du lecteur.
Ainsi, et pour d’autres raisons écologiques et naturalistes déjà présentées par d’autres contributions, c’est un AVIS NEGATIF à ce projet.
Hytte
Laissons encore un peu de
Laissons encore un peu de nature autour de nous les humains mais aussi autour des animaux
Nous avons clairement à faire
Nous avons clairement à faire ici a un projet qui n’a plus sa place dans l’évolution des modèles actuels. L’impact sur la commune ou la circulation routière est difficile, ou les pistes de vélo réellement protégées (et pas un simple marquage peinture) sont quasi inexistantes, rend insoutenable la présence d’un million de visiteurs qui vont consommer eau, énergies, générer des déchets et arriver ici en majorité en voiture et vont encore aggraver la situation précitée…
Un aménagement des bords de Saône oui, mais arrêtons la mégalomanie… revenons sur quelque chose de raisonnable et de vraiment respectueux de l’environnement.
Bonjour,En plus d’artificialiser des zones
Bonjour,
En plus d’artificialiser des zones naturelles contenant des espèces protégées, ce projet va entrainer un afflux de fréquentation du site, et sur la voie des eaux, et sur la voie des terres. Cette pression de plus en plus forte sera néfaste pour la biodiversité.
Cette artificialisation concerne des zones humides qui disparaissent aujourd’hui 3 fois plus vite que les forêts. Et pourtant ! Elles jouent un rôle primordial pour limiter les effets néfastes de l’homme sur la biodiversité : épuration des pollutions, absorption du CO2, préservation de la ressource en eau, …
Je m’oppose à ce projet qui me parait aller à contre-courant des décisions et orientations que nous nous devons de prendre aujourd’hui. Pour préserver notre planète, et aussi pour préserver les conditions d’une vie acceptable pour l’espèce humaine.
La nature nous apporte bien-être et services que nous ne mesurons pas suffisamment. La nature, nous en faisons partie mais nous l’avons oublié. Arrêtons de la détruire et apprenons à développer de nouvelles relations avec elles.
Non au port de Bordelan.
Laurence Lauby
Encore un projet « Stratégique », bien
Encore un projet « Stratégique », bien sûr, pas pour M tout le monde, mais pour les actionnaires qui y ont investi quelques milliers, quelques millions d’Euros.
Artificialisations, destructions environnementales, peu leur importe : ce qui compte, ce sont les dividendes.
« Le marché » brûle la planète.
Il est plus que temps de passer à autre chose, mais messieurs les financiers ne pensent qu’en termes de « progression » : croissance intenable dans un monde limité.
Progression, progrès, on a vraiment de quoi s’y perdre, n’est-ce pas ?
Demain, le progrès, c’est vivre décemment dans un environnement en plein changement, et de trouver des solutions pour s’adapter au changement climatique.
Voyez dans la revue NATURE : https://www.nature.com/articles/s43247-023-01195-5
La restauration de zones humides est prioritaire pour permettre d’absorber le choc climatique. Détruire une zone humide ?
C’est complètement à contre- courant.
Le projet du Bordelan vise
Le projet du Bordelan vise à restructurer sur le plan urbain, commercial et touristique un secteur actuellement en attente d’un projet structurant. Le projet de port s’inscrit dans une vision de développement du tourisme fluvial sur la Saône à proximité de l’agglomération Lyonnaise qui ne dispose pas de projets actuellement. La demande de tourisme fluvial reste forte pour cette agglomération, les utilisateurs actuels doivent se reporter vers des ports quasiment saturés au nord et au sud de Lyon.
Le démarche de conception du port est particulièrement respectueuses du site, car des procédés de construction novateurs, non polluants sont prévus et des mesures de compensations environnementales seront mises en place sur une importante superficie (environ 20ha). La qualité globale du projet (sur un secteur actuellement à l’abandon) participera fortement à l’attractivité d’un territoire pour l’ensemble de la population locale. La défense de l’environnement ne doit pas imposer l’abandon de tous les projets de qualité qui sont produits par les collectivité locales. Il ne paraît pas raisonnable de vouloir revenir sur ce site à la forêt alluviale présente dans ce lieu au Moyen-Age.
Maurice Promonet
Je suis contre, il est
Je suis contre, il est temps de penser en priorité à la biodiversité, on ne peut plis se permettre de bétonner encore
BonjourJe suis très sceptique sur
Bonjour
Je suis très sceptique sur ce projet qui a été pensé avant que ne soient pris en compte les enjeux climatiques actuels. Les études environnementales sont anciennes et incomplètes. La surface d’artificialisation des sols est importante. Or, la capacité de résilience de la nature sur ce type de site et qui est déjà en cours incite à réfléchir à un projet qui permettrait à la biodiversité d’y trouver un nouvel espace. J’y suis donc tres défavorable.
Bonjour,Je suis contre le projet
Bonjour,
Je suis contre le projet en l’état qui ne prend pas en considération les enjeux écologiques actuels, qui ne l’oublions pas, concernent les générations futures, et plus largement tout le vivant.
Carole Agullo
Je ne vois pas l’intérêt
Je ne vois pas l’intérêt de réaliser cet aménagement au vu de son utilité. Il serait beaucoup plus intéressant de mettre en valeur ces milieux naturels (zones humides particulièrement) afin de préserver la biodiversité.
Je suis contre et demande à revoir ce projet.
je comprends al volonté politique
je comprends al volonté politique de rendre un territoire attractif, mais à quel prix? est-on vraiment dans un projet réaliste en phase avec nos problématiques globales ( chute biodiversité, eau polluée) ou un projet vitrine narcissique qui permettra à certains élus de dire ‘ c’est moi qui l’ait fait ».
si cette zone est remarquable, pourquoi ne aps en faire un sanctuaire, d’observation et d’apprentissage au respect du monde vivant? un parcours pédagogiques, des cabanes d’observations des oiseaux? un support pour les écoles, les associations de guide natures, proposer aux citoyens de découvrir leur monde et d’en prendre soin.
chaque ilot de biodiversité et de réserve d’eau moins impactée par nos activités sera de plus en plus précieuse. oublie-t-on cela lorsque l’on devient élu? comment à leur actuelle expliquer que les élus , garant de notre santé, de notre sécurité, ne soient pas mieux renseignés sur les enjeux environnementaux qui impactent directement et indirectement notre santé!
Je suis contre ce projet
Je suis contre ce projet démesuré.Un aménagement du site plus doux et respectueux de la biodiversité semble de nos jours plus adéquat. Ubris toujours des plus nantis .
Avis défavorable. L’impact sur la
Avis défavorable. L’impact sur la biodiversité est déjà bien décrit dans toutes les interventions. Ce genre de projet est complètement anachronique. On se croirait revenus dans les années 60-70 et la grande bétonnisation du littoral français.
Avec du Greenwashing comme « encourager la navigation décarbonée », c’est pipo et lamentable de continuer à prendre les gens à ce point pour des imbéciles…
La plaisance habitable ça génère des rejets directs dans l’eau (pipi, caca, papier, eau de vaisselle, produits de nettoyage bien chimiques…), des hydrocarbures, sans compter tout ce que les gens continuent à jeter dans la nature comme on le voit sur la pelouse du colombier où en 2024 malgré les poubelles, il faut des employés municipaux pour ramasser (emballages, mégots…).
J’ai regardé la documentation et je ne vois pas apparaître le pré bilan carbone du chantier.
Avis défavorable. L’impact sur la biodiversité est déjà bien décrit dans toutes les interventions. Ce genre de projet est complètement anachronique. On se croirait revenus dans les années 60-70 et la grande bétonnisation du littoral français.
Avec du Greenwashing comme « encourager la navigation décarbonée », c’est pipo et lamentable de continuer à prendre les gens à ce point pour des imbéciles…
La plaisance habitable ça génère des rejets directs dans l’eau (pipi, caca, papier, eau de vaisselle, produits de nettoyage bien chimiques…), des hydrocarbures, sans compter tout ce que les gens continuent à jeter dans la nature comme on le voit sur la pelouse du colombier où en 2024 malgré les poubelles, il faut des employés municipaux pour ramasser (emballages, mégots…).
J’ai regardé la documentation et je ne vois pas apparaître le pré bilan carbone du chantier.
Côté économique, il y a déjà une zone d’activité très développée entre Villefranche et Anse. Côté infrastructures, il y a déjà l’A6 avec un trafic considérable. A-t-on besoin d’en rajouter d’en rajouter ?
Ce projet d’infrastructures à construire
Ce projet d’infrastructures à construire en lieu et place de l’espace naturel prévu présente de nombreuses incohérences et des conséquences irréversibles sur l’environnement.
L’évolution climatique et la sauvegarde de la biodiversité sont des enjeux majeurs du XXIe siècle. La bétonnisation, les constructions envisagées , l’augmentation de fréquentation qui découleraient de ce projet, dénatureraient le cadre paisible du plan d’eau du colombier attenant. L’impact Carbone aurait du être étudié sérieusement avant présentation de cette consultation et reste incompatible avec les objectifs de réduction de l’empreinte écologique. De plus, la population locale n’a pas été suffisamment informée sur les impacts de ce projet, et nombres d’habitants ne sont pas au courant de la consultation publique.
Unz étude d’impact poussée et actualisée, réalisée par un organisme indépendant, permettrait certainement de statuer et de renoncer définitivement à ce projet irréaliste et inadapté à nos enjeux actuels de société.
Pourquoi ne pas proposer un aménagement de la zone à but pédagogique pour la préservation de l’environnement pourrait être plus responsable, moins coûteux et toucher une plus grande partie de la population.
Je suis contre ce projet.
Je suis contre ce projet. Est-ce bien encore un projet d’avenir environnemental?
Ne soyons pas naïf, ce port n’est pas pour les Ansois. Ce port est fait pour que les riches Lyonnais viennent amarrer leurs engins de promenade sur la Saône. Comme on ne fait pas de voile sur la Saône il ne s’agit donc que de bateaux à moteur polluants et bruyants.
Je ne parle pas des enjeux écologiques liés à cette bétonisation d’une zone naturelle.
Je vous demande de reconsidérer
Je vous demande de reconsidérer votre projet. La nature est et doit rester un bien commun, pour tous et ne pas être annexée au profit de quelques-uns..
– Projet dépassé dans un
– Projet dépassé dans un contexte de dérèglement climatique et de disparition de la biodiversité.
– projet dépassé car il n’est pas possible de poursuivre le développement du tourisme de manière débridée et en faveur des classes aisées
– Destruction d’une zone naturelle et humide alors que la loi Zéro Artificialisation Net (ZAN) exige de réduire de moitié l’artificialisation de notre territoire d’ici 2030.
– Faible intérêt de la création d’un nouveau port fluvial de plaisance de 350 anneaux sur la Saône, alors qu’il existe déjà des ports de plaisance à proximité.
– Un impact économique largement surestimé : La grande majorité des anneaux sera utilisée par des gens de la région pour garer leur bateau, donc sans impact économique supplémentaire.
– de nombreuses pollutions et dégradations des espaces naturels afférentes seraient significatives : Nuisances sonores générées par les bateaux à moteur ; Pollution aux hydrocarbures de la Saône par les bateaux et pollution de l’air aux particules fines par l’afflux d’automobiles et de moteurs.
– quel est l’impact carbone ?
– Menace de destruction d’éléments naturels remarquables tels que : alignement de Peupliers noirs centenaires et roselière de nichage, là où l’entrée du bassin doit être creusée, une flore diversifiée (Lèche à épis noirs, Fritillaire pintade, Gratiole officinale, Euphorbe des marais, Pigamon jaune…), une faune qui l’est autant (amphibiens, tritons, Guêpier d’Europe, hérissons, Chiroptères, oiseaux migrateurs…).
agnès v
Bonjour, Je suis pour le
Bonjour, Je suis pour le projet du port de Bordelan, il est le maillon manquant sur le développement du tourisme fluviale en amont de Lyon et il est très cohérent avec le développement du tourisme cyclable sur l’autre rive de la Saône.
Il est inexact de résumer ce projet à la disparition d’une zone naturelle. Pour sa plus grande part, près de 80%, la zone est une ancienne zone d’activité minière (gravillons et enfouissement de déchets de démolition). Développer une activité de tourisme dans cette zone est la meilleure protection que l’on puisse apporter à l’ensemble des berges de Saône entre Macon et Lyon. Cette berge qui est limitrophe à l’autoroute et la voie de chemin de fer protègera ainsi les autres berges qui ont gardées elles, leur caractère naturel. La réussite de la zone de baignade prouve que l’on peut réaliser cette opération en améliorant la qualité environnementale de cette zone.
Il est en revanche étonnant que la population des communes de la CCDSV, et en particulier Saint-Bernard n’aie pas été appelé à s’exprimer sur ce projet, pas des voies officielles, en tant que voisins cette commune supportera les inévitables nuisances.
Je suis contre ce projet
Je suis contre ce projet disproportionné, irréaliste et en inadéquation totale avec les enjeux contemporains, qu’ils soient environnementaux, sociaux ou économiques.
Des alternatives existent pour valoriser le plan d’eau sur le plan économique sans pour autant passer par la promotion d’un tourisme de masse dont personne ne veut et par la destruction de biotopes d’importance majeure pour les nombreux rôles écologiques qu’ils assurent (et dont nous, êtres humains, bénéficions également) et qui sont irremplaçables, malgré ce que suggèrent les « compensations » évoquées.
Il en est de la responsabilité des collectivités de montrer l’exemple sur des projets d’aménagement de ce type : des projets axés sur la valorisation du patrimoine local (y compris du patrimoine naturel) et où le maître mot devrait être « sobriété ».
BonjourAux vues des objectifs environnementaux
Bonjour
Aux vues des objectifs environnementaux ce projet est un non sens.
Une destruction de biodiversité pour le loisir de quelques uns
AVIS DÉFAVORABLE
Cordialement
Bonjour je suis contre le
Bonjour je suis contre le projet de plus grand port de plaisance de France au Bordelan car il est important aujourd’hui encore plus qu’hier de préserver les espaces naturels, préserver la biodiversité et garder ce côté sauvage et naturel des bords de Saône. Il faut arrêter la betonnisation des espaces naturels qui jouent un rôle si important pour l’écosystème, Il faut plutôt chercher à faire découvrir cette belle nature à préserver arbres centenaires, biodiversité incroyable, régulation des températures hyper important alors que le dérèglement climatique est en marche partout dans le monde. Merci
Je suis opposé à ce
Je suis opposé à ce projet: destruction massive de l’environnement et des espèces protégés. Modification des bras de Saône déjà fragilisés par les interventions humaines. Les impacts environnementaux du projet, fait de bétonisation et des pollutions supplémentaires, ne sont absolument pas nécessaires à l’amélioration de la qualité de vie des humains.
Ce projet est surdimensionné par
Ce projet est surdimensionné par rapport à l’activité nautique de notre secteur géographique. L’utilité d’une telle infrastructure pose vraiment question (est-ce que le besoin est vraiment existant ? Je ne pense pas). Concernant les enjeux écologiques de ce projet, il n’y aura pas de compensation possible, car le milieu naturel qui va être détruit sera détruit…
A l’heure à actuelle, comment peut-on encore mettre en œuvre des projet comme celui-ci, qui réduit à néant tout un écosystème. J’ai honte de nos actes et des initiateurs de ce projet s’il n’y a aucune utilité pertinente pour la population locale.
Bonjour,Je suis opposé à ce
Bonjour,
Je suis opposé à ce projet d’artificialisation d’une zone humide qui sont parmi les zones les plus impactées ces dernières décennies. Elle sont une oasis de biodiversité et participe à la conservation du cycle de l’eau.
Ce projet initié il y a plus de 10 ans ne se justifie plus à l’heure actuelle dans le contexte climatique, environnemental et économique actuel avec des fonds pouvant être bien mieux alloués.
Cordialement
Avis clairement contre : c’est
Avis clairement contre : c’est l’exemple-type d’un projet de bétonnage (type côte méditerranéenne) qui n’a d’intérêt que pour quelques-uns (et pour les financiers) au détriment de la nature, ses joies simples comme la promenade et l’observation des oiseaux et surtout son importance pour l’équilibre naturel. On en a déjà une illustration puisque cette zone est, depuis des années, interdite au public.
Entièrement contre ce projet qui
Entièrement contre ce projet qui ne favorise qu’un nombre infime de personnes au détriment d’une zone riche en biodiversité. Encore une fois le profit est au centre du projet!
Arrêtons de massacrer nos espaces naturels, sachons profiter de la nature qui nous ressource tant
Autant ce lieu avait besoin
Autant ce lieu avait besoin d’un aménagement il y a 40 ans, autant ce projet pharaonique actuel est une incongruité:
— pôle d’activité: quel lien avec ce lieu ? il ne faut pas en faire une activité nationale. D’autres lieux déjà dégradés suffisent !
— pôle tourisme: le meilleur tourisme reste discret…
— pôle port: un port d’escale suffit; la présentation est un port où les bateaux seront des résidences secondaires… pour qui ?
Aucune confiance dans les projets où la rentabilité des activités entraîne des catastrophes sur le milieu naturel !
Je pense que ce projet
Je pense que ce projet n’est pas respectueux de l’environnement et je souhaite qu’il soit abandonné
A l’heure de la surchauffe
A l’heure de la surchauffe de la planète, alors que l’Etat s’est engagé dans un objectif de zéro artificialisation nette, dans la loi « Climat et résilience » du 22 août 2021, les collectivités locales ont un rôle à jouer. De tels projets pharaoniques pour des loisirs polluants, destinés à quelques privilégiés, ont-ils vraiment encore lieu d’être ? Dans un contexte d’effondrement du vivant et de profonds chamboulements climatiques, ce projet écocide ne devrait-il pas être transformé en un espace de contemplation de la nature éventuellement un sentier de découverte de la biodiversité ordinaire pour les habitants. La nature est et doit rester un bien commun, pour tous et ne pas être annexée au profit de quelques-uns…
Le dossier de la concertation ne permet pas de prendre la mesure des impacts du projet. Le document d’études présenté (État initial du projet, daté de mars 2024) est d’ailleurs estampillé « Provisoire ».
Sur le fond, au-delà des impacts mentionnés dans le dossier sur des espèces protégées, la nature dite ordinaire, même si elle n’a pas officiellement de statut de protection, doit être impérativement protégée pour maintenir des fonctions essentielles, comme la régulation des flux hydrauliques, la pollinisation, la protection des cultures, le recyclage des matières organiques et le bon fonctionnement des écosystèmes… Cette biodiversité « ordinaire » n’est pas prise en compte dans le dossier et l’impact de la destruction de nombreuses espèces est jugé « Faible ». A titre d’exemple, les pollinisateurs sauvages, dont on connait l’effondrement des populations, ne sont pas pris en compte.
Les mesures compensatoires envisagées ne sont pas précises et, en l’état, laissent entrevoir une très faible prise en compte des différents milieux détruits par le projet.
Je souhaite avoir accès à une étude complète pour donner un avis éclairé sur le projet.
Pour avoir fréquente souvent ce
Pour avoir fréquente souvent ce lieu naturel et authentique où la nature a repris sa place, les insectes, les oiseaux etc retrouvent également leur environnement et pour toutes les bonnes raisons évoquées dans ce message, je pense qu ‘il faut un aménagement mais pas le projet XXXL retenu par les élus.
Je suis contre ce type
Je suis contre ce type de projets onéreux et écocides en faveur des loisirs polluants qui viennent prendre la place d’espaces naturels.
Je souhaite que le dossier de concertation soit approfondi avec la prise en compte des insectes pollinisateurs sauvages dont l’effondrement de leur biomasse n’est plus un secret depuis plus de 30 ans et des mesures compensatoires envisagées.
Merci
STOP au plus grand !
STOP au plus grand ! plus fou ! plus dense !
Bonjour,L’inventaire des espèces est largement
Bonjour,
L’inventaire des espèces est largement incomplet et trop daté. Plus particulièrement, je tiens à signaler que la présence du castor est avérée sur l’emprise du projet et a fait l’objet de plusieurs observations dont une dont je peux attester le 5 mars 2023 (photographies à disposition).
Je suis contre ce projet en l’état pour plusieurs raisons :
– le séquençage du projet (retroussement puis creusement du port puis construction) « dilue » son impact qui n’est pas considéré dans sa globalité
– la séquence ERC n’ pas été justifiée
– les mesures de compensations ne sont pas à la hauteur de la dégradation du milieu que causera le projet et ne sont pas correctement mises en place sur la phase 1
– le projet est situé sur un biotope de haute importance identifié au SRADET et dans le DOO du Scot du Beaujolais, qui ne pourra être compensé une fois détruit
– le territoire présente des possibilités d’alternatives à minima pour les activités périphériques au port
– la justification économique du projet n’est pas non plus présentée ni argumentée
En résumé : ce très vieux projet est anachronique, il n’est absolument pas en phase avec les enjeux contemporains, qu’ils soient environnementaux, sociaux ou économiques.
Créer un port fluvial pourquoi
Créer un port fluvial pourquoi pas surtout si c’est pour utiliser la zone actuellement en eau de la gravière.
Mais déplacer 2805m3 de terre d’un coté pour aller remblayer la gravière située à 3km certainement pas.
Quel gâchis d’énergie, de moyen et quelle agression pour notre planète.
Ce projet devrait être traité « sobrement » et non pas à l’image de Dubai !
Pourquoi donc dépenser autant d’argent, qui va payer ces travaux pharaoniques ?
N’y a t il pas d’autres aménagements plus raisonnables et plus utile que ce délire ?
En bref je suis scandalisé de constater que d’un coté on puisse s’accorder sur l’urgence de ralentir et de faire les choses sobrement et que dans le même temps on se permette de dépenser notre argent si inutilement et d’une façon aussi vulgaire.
Marc TUAILLON
Pourquoi ce projet qui cautionne
Pourquoi ce projet qui cautionne les inconscients destructeurs de la nature? Ne vaudrait-il pas mieux encourager des loisirs écologiques qui respectent notre bel environnement?
A l’heure où villes et
A l’heure où villes et sites divers étouffent de la surabondance de touristes en mal de selfies devant des sites et monuments remarquables, je suis surpris de découvrir ce projet « géant ». De simples semelles à user peuvent avoir le mérite de faire découvrir que chacun dispose d’un corps merveilleux doté entre autres de jambes et de pieds qui ne demandent qu’à bouger.
Alain Dubuis
Bonjour,Bien que ce projet parte
Bonjour,
Bien que ce projet parte d’une bonne intention pour l’attractivité du territoire, il est nuisible pour tout le reste.
L’artificialisation d’un grand nombre d’hectares sur une zone humide, pour la création du pôle de loisir, est la pire des idées.
Ces zones sont tellement importantes (elles limitent les risques d’inondation dans la ville, elles sont des puits de carbone puissants, elles traitent nos pollutions…). Il est temps de voir plus loin que nos envies actuels de produire toujours plus, surtout lorsque nous avons déjà une chance et une richesse inestimable sous nos yeux.
Merci
Ce projet est à l’encontre
Ce projet est à l’encontre des enjeux environnementaux actuels. Il faut préserver les zones humides, arrêter d’artificialiser des espaces riches en biodiversité. Sans parler de la pollution générée par les travaux puis par l’activité (inutile) d’un port de plaisance.
A l’heure de la surchauffe
A l’heure de la surchauffe de la planète, alors que l’Etat s’est engagé dans un objectif de zéro artificialisation nette, dans la loi « Climat et résilience » du 22 août 2021, les collectivités locales ont un rôle à jouer. De tels projets pharaoniques pour des loisirs polluants, destinés à quelques privilégiés, ont-ils vraiment encore lieu d’être ? Dans un contexte d’effondrement du vivant et de profonds chamboulements climatiques, ce projet écocide ne devrait-il pas être transformé en un espace de contemplation de la nature éventuellement un sentier de découverte de la biodiversité ordinaire pour les habitants. La nature est et doit rester un bien commun, pour tous et ne pas être annexée au profit de quelques-uns.
Le dossier de la concertation ne permet pas de prendre la mesure des impacts du projet. Le document d’études présenté (État initial du projet, daté de mars 2024) est d’ailleurs estampillé « Provisoire ».
Sur le fond, au-delà des impacts mentionnés dans le dossier sur des espèces protégées, la nature dite ordinaire, même si elle n’a pas officiellement de statut de protection, doit être impérativement protégée pour maintenir des fonctions essentielles, comme la régulation des flux hydrauliques, la pollinisation, la protection des cultures, le recyclage des matières organiques et le bon fonctionnement des écosystèmes… Cette biodiversité « ordinaire » n’est pas prise en compte dans le dossier et l’impact de la destruction de nombreuses espèces est jugé « Faible ». A titre d’exemple, les pollinisateurs sauvages, dont on connait l’effondrement des populations, ne sont pas pris en compte.
Les mesures compensatoires envisagées ne sont pas précises et, en l’état, laissent entrevoir une très faible prise en compte des différents milieux détruits par le projet.
Je souhaite avoir accès à une étude complète pour donner un avis éclairé sur le projet.
Enfin un nouveau port pour
Enfin un nouveau port pour la plaisance répondant au manque d’anneaux sur la Saône et le Rhône et qui, de plus est situé à proximité de Lyon Métropole. Ce port répond à un besoin, les autres ports étant saturés.
L’ensemble valorisera Anse.
Ce projet est de plus en adéquation avec la nature en proposant des belles compensations.
G.FORTUNA
A quelle minorité est destinée
A quelle minorité est destinée cette station balnéaire avec port de plaisance qui fait peu de cas de l’environnement ?
Un projet de tourisme de
Un projet de tourisme de masse dans une zone d’intérêt écologique ??? Ce n’est vraiment pas une bonne idée. Remplacer plus d’un kilomètre de berges par des paleplanches : pensez-vous réellement qu’il n’y aura aucune conséquence pour la biodiversité et la fonctionnalité des milieux ? Car oui, la biodiversité ordinaire joue un rôle important dans les équilibres… et joue en nôtre faveur. Si vous ne le faites pas pour la planète, faites le pour nos enfants. C’est eux qui en paieront les conséquences quand l’autoroute sera inondée, quand les fruits seront inabordables car plus pollinisés naturellement,…
La seule ambition de ce projet est de satisfaire le bilan de mandat de quelques élus ou décideurs locaux…
Je suis défavorable à ce
Je suis défavorable à ce projet. Nous avons trop besoin de préserver la biodiversité , en particulier celle des zones humides.
Il faut arrêter ces grands projets qui détruisent beaucoup notre territoire pour le plaisir de quelques-uns.
Franchement, le plus grand port de plaisance à Villefranche sur Saône ? C’est du délire !!!
Marie-claire Métairie
Non à ce projet, qui
Non à ce projet, qui va exactement dans le sens contraire de la préservation des zones sauvages.
Le plan d’eau du Colombier respecte cet environnement naturel à condition de ne pas en faire une attraction touristique et économique, c’est gratuit, ouvert à tous. Il bénéficie à la population locale et c’est bien. Pourquoi un nouveau port, des hotels, pour qui ? Toujours les mêmes, les riches. Pour des élus qui ne pensent qu à l’illusion d’un développement économique qui pollue, détruit, …
Pourquoi réaliser un projet avec
Pourquoi réaliser un projet avec un tel impact environnemental alors que les locaux eux-mêmes n’en veulent pas ?
Il n’y a aucun argument qui permettent de continuer le projet, si ce n’est les idéologies délétères de quelques irresponsables.
Encore une fois l’argent risque
Encore une fois l’argent risque de détruire ce que la nature nous a confié. Arrêtons de bétonner et protégeons cette magnifique rive.
Jérôme SUZANNE
Je suis défavorable à ce
Je suis défavorable à ce projet pour des raisons écologiques et économiques.
N’y a-t-il pas d’autres priorités ?
Je pense que ce genre
Je pense que ce genre de projet n’est plus envisageable à l’ heure actuelle: grave perte de biodiversité, en particulier à cause de la destruction des zones humides, pollutions dûes à la circulation de bateaux de croisière. Cessons d’encourager ce type de loisirs !
Aujourd’hui, on connaît parfaitement les
Aujourd’hui, on connaît parfaitement les conséquences d’un tel projet sur l’environnement et la biodiversité. Je suis consterné de constater que les élus passent outre les mises en garde présentées.
Désolant.
Je suis contre ce projet.La
Je suis contre ce projet.
La création d’emplois qui semble représenter la seule justification de ce projet ne saurait prévaloir sur la dégradation forte de l’environnement qu’il engendrerait. Halte à ces projets où l’activité humaine est toujours considérée comme d’un intérêt supérieur par rapport aux impacts négatifs sur l’environnement.
Par ailleurs, il est à noter des manquements importants quant à l’analyse des impacts environnementaux et à la recherche d’alternative potentielles, comme analysé par la LPO
Je suis contre ce projet
Je suis contre ce projet qui va satisfaire une minorité économique mais abîmer la biodiversité. Tous les jours le dérèglement climatique touche nos villages. Il est temps de penser au vivant pour tous et non au bien être de la minorité
Je valide plutôt l’idée « d’un
Je valide plutôt l’idée « d’un projet alternatif et dans l’air du temps. Un aménagement possible, tout en préservant la biodiversité et ouvert à l’homme. Cette cohabitation est possible, à l’image du parc de Miribel Jonage. »
Je pense qu’avec le réchauffement climatique et les problèmes qui en découlent ce n’est pas le moment d’engager des frais énormes mettant en danger la faune et la flore.
Je suis contre la mise
Je suis contre la mise en place de ce projet. L’intérêt économique ne vaut pas les dégâts irréversibles commis sur la faune et la flore présente.
Cordialement
je suis contre ce projet
je suis contre ce projet inutile et couteux, qui va conduire à une destruction d’espaces naturels et d’espèces, et mener à encore de la bétonnisation, du trafic de bateaux et routier, avec nuisances sonores, pollution, pour le bénéfice d’un nombre restreint de personnes. Avec un budget colossal qui pèsera sur toutes les communes alentour ; de la destruction et du gaspillage, tout cela sur des zones en renaturation qui voient arriver de nouvelles espèces, avec arbres centenaires et roselière. Quelle désolation !
Je suis contre ce projet
Je suis contre ce projet qui va encore artificialiser un grand nombre d’hectares et de zones humides. Elles nous sont pourtant bien utiles en termes de gestion de l’eau et de biodiversité. legoff.d
Ce projet montre comme les
Ce projet montre comme les élus n’ont pas pris la mesure de l’impact du dérèglement climatique sur l’Humanité.
Préserver notre bien commun qu’est la nature devrait être une priorité urgente et non un empêchement à créer des projets dont la teneur économique laisse à douter.
Les milieux humides font partie de ces espaces indispensables à nombre d’espèces de faune et de flore et devraient être considérées comme un patrimoine mondial à protéger.
Je suis donc contre ce projet où la prise en compte de la biodiversité et la séquence ERC semblent être des confettis parsemés sur un amas de solutions techniques polluantes et dégradant l’intégrité du site.
Même si je comprends les
Même si je comprends les enjeux économiques ce projet très ambitieux m interroge. Nous sommes dans un changement profond de notre climat, nous perdons chaque jour un peu plus de biodiversité, nous connaissons l importance des zones humides en terme environnemental, nous connaissons les effets désastreux de l artificialisation des sols…..
Le port de Macon a t il atteint ses limites de capacité pour accueillir les plaisanciers? Nous avons déjà ce port tout près de nous.
Je ne suis pas favorable à ce projet de part son impact environnemental. La nature est une absolue priorité dans le contexte du dérèglement climatique.
J aimerais des projets qui
J aimerais des projets qui vont dans le sens du respect du vivant. Nous en dépendons, il me semble que c’est de se respecter soi même que de faire en sorte que la nature se porte au mieux.
Stop à toutes ces artificialisations
Stop à toutes ces artificialisations et à ces atteintes à l’environnement ! Pensons à notre futur au lieu de vouloir toujours plus…
A l’heure de la surchauffe
A l’heure de la surchauffe de la planète, alors que l’Etat s’est engagé dans un objectif de zéro artificialisation nette, dans la loi « Climat et résilience » du 22 août 2021, les collectivités locales ont un rôle à jouer. De tels projets pharaoniques pour des loisirs polluants, destinés à quelques privilégiés, ont-ils vraiment encore lieu d’être ? Dans un contexte d’effondrement du vivant et de profonds chamboulements climatiques, ce projet écocide ne devrait-il pas être transformé en un espace de contemplation de la nature éventuellement un sentier de découverte de la biodiversité ordinaire pour les habitants. La nature est et doit rester un bien commun, pour tous et ne pas être annexée au profit de quelques-uns…
Je suis opposée à ce
Je suis opposée à ce projet de ZAC qui va encore détruire la biodiversité locale, les espèces animales comme la diversité des milieux. La richesse de cette biodiversité est irremplaçable, bien que le dossier prétend « renaturer » des espaces. Stop à ce projet créé uniquement pour l’intérêt financier !
A quand un projet construit
A quand un projet construit par les citoyens et pour l’ensemble des citoyens ?
Arrêter de détruire notre environnement pour une poignée de privilégié, à un moment donné ça se voit trop et le retour va faire mal
Totalement opposée à la réalisation
Totalement opposée à la réalisation de ce projet surdimensionné, destructeur d’une zone humide nécessaire pour le respect de la biodiversité. De plus, un lieu très apprécié de la population locale recherchant un coin de nature.
Martine Mathian
Je suis contre ce projet
Je suis contre ce projet parce que nous devons choisir des solutions sobres en énergie, ayant peu d’impact sur les milieux naturels et la biodiversité animale et végétale, ayant peu d’emprise sur le foncier. Ce projet ne concerne pas le bien commun de l’ensemble de la population. Il n’est pas justifié par un impératif majeur d’intérêt général, et n’est pas envisageable dans les conditions climatiques où nous sommes aujourd’hui.
Les zones humides doivent etre
Les zones humides doivent etre protégées elles sont fragiles et vitales. Le projet doit être repensé avec cet objectif.
Je suis farouchement contre ce
Je suis farouchement contre ce projet nuisible à l’environnement.
Stop à l’artificialisation des zones naturelles !
Mettez un terme à cet aménagement délétère. Il n’y a pas que les enjeux économiques à considérer, la biodiversité n’a pas de prix !!
Bonjour,Je suis contre ce projet
Bonjour,
Je suis contre ce projet qui va encore artificialiser un grand nombre d’hectares et de zones humides. Elles nous sont pourtant bien utiles en termes de gestion de l’eau et de biodiversité.
Cela me rend triste qu’il
Cela me rend triste qu’il soit encore question de « toujours plus »…n’est il pas temps d être dans la sobriété, pour essayer de préserver le vivant?
Je ne suis pas contre ce projet par principe, mais contre car ce projet ne sert pas l’humain!
Laurence
Non à ce projet qui
Non à ce projet qui conduira à l’artificialisation de 20ha de terres renaturalisées, à une augmentation de la circulation, au développement de la navigation de plaisance, consommatrice d’énergie et porteuse d’impacts négatifs sur la flore et la faune fluviales, bref un projet tout sauf « moderne ». Soyons plus inventifs pour être plus respectueux de la nature.
Je pense qu’il est temps
Je pense qu’il est temps de s’arrêter de jouer à détruire notre environnement!
Mauvaise idée. Marre des projets
Mauvaise idée. Marre des projets pharaoniques.
C’est le dernier lieu d’intérêt
C’est le dernier lieu d’intérêt naturel de la région de Villefranche et d’Anse où les habitants pouvaient se ressourcer et être en lien avec la faune et flore sauvage au quotidien (accès rapide). Si cette zone de vie finissait par être éliminée par ce projet, alors cette région n’aura plus aucune valeur et ne sera plus que le produit des commerçants et des plus puissants. Qui voudra venir vivre ici et venir visiter cette endroit tant il est artificiel et vide ?
Bonjour Je suis défavorable à
Bonjour
Je suis défavorable à ce projet.
Destruction de la biodiversité.
Artificialisation de terrains humides.
Pollution avec l’arrivée de bateaux.
C’est un projet beaucoup trop cher et pollueur pour notre région.
Nous avons déjà l’A6 qui apporte beaucoup de Pollution avec les véhicules c’est largement
suffisant.
Cordialement Muriel ROCHE PINAULT
Ce projet est trop gigantesque
Ce projet est trop gigantesque et se développerait aux dépends d’une zone humide et naturelle. Je ne suis pas contre certains aménagements touristiques ou de loisirs mais de taille modeste et impactant le moins possible l’environnement.
Je ne comprends pas comment
Je ne comprends pas comment on peut penser à réaliser ce genre de projet quand on sait à quel point les zones humides sont importantes. Comment peut on prétendre protéger la biodiversité ? Cette zone je la connais très bien, et je l’aime pour la tranquillité, la paix et le calme qu’elle apporte, un port ne ferait que créer l’inverse…
Contribution pour la concertation préalable
Contribution pour la concertation préalable port du Bordelan
Le projet de développement du tourisme fluvial à Anse, bien qu’annoncé comme une initiative visant à promouvoir la navigation décarbonée et à améliorer la qualité de vie locale, suscite de vives préoccupations en raison de ses impacts environnementaux significatifs.
Sur les enjeux du droit à l’information environnementale,
En préambule, nous rappelons que le droit à l’information environnementale est un objectif légal auquel toute personne publique doit tendre (Article 110-1 du code de l’environnement). L’étude d’impact qui est soumise à la concertation préalable ne présente que la partie de l’État initial de l’environnement. La SERL précise qu’il ne s’agit que d’un document provisoire et que le document final sera présenté lors de l’enquête publique. Si cela nous interroge, nous y reviendrons plus tard dans cette contribution. En revanche, nous souhaitons mettre en avant qu’il est problématique que le résumé non technique soit absent de ce document. Le résumé non technique est un document capital pour l’information au public. L’étude d’impact est un document d’une technicité pointue et qui est difficilement accessible au citoyen néophyte. Ainsi “le résumé non technique va permettre d’expliquer brièvement le projet, plan ou programme et ses enjeux dans un langage accessible à tous” (v.Mémentos pour les évaluations environnementales, Ministère de la transition écologique et de la cohésion). Par conséquent, présenter l’étude d’impact sans le résumé technique ne permet pas d’atteindre cet objectif de bonne information du citoyen qui pourra se retrouver démuni face à la technicité présente dans cette dernière.
Nous regrettons qu’aucune réunion publique n’ait été organisée. Même s’il ne s’agit pas d’une obligation légale, une rencontre entre les différents acteurs serait pertinente afin d’appréhender les enjeux du projet et d’engager de réelles discussions.
Sur les enjeux du climat et de la qualité de l’air,
Tout d’abord, les travaux nécessaires pour accueillir des bateaux de plaisance jusqu’à 20 mètres impliqueront l’extraction de 285 000 m³ de matériaux (panneau n°3 – modalités de mise en œuvre de l’aménagement du port). Bien que l’utilisation d’une drague aspiratrice soit présentée comme une solution innovante, cette méthode invasive perturbera gravement les écosystèmes aquatiques et terrestres pendant les cinq mois de travaux, générant un trafic quotidien de 200 véhicules et nécessitant la création de nouvelles pistes pour les engins (panneau n°3 – modalités de mise en œuvre de l’aménagement du port). Ces activités contribueront à une augmentation des émissions de gaz à effet de serre et à une dégradation de la qualité de l’air.
De plus, le projet anticipe un million de visiteurs, ce qui entraînera également une augmentation significative de la pollution. L’afflux massif de voitures engendrera une dégradation des espaces naturels environnants, augmentant la pollution de l’air par les particules fines et provoquant des nuisances sonores. En outre, la présence accrue de bateaux sur la Saône risque de causer une pollution de l’eau.
De fait, l’impact carbone de ce projet est indéniablement négatif, et pourtant, il n’a pas été sérieusement évalué par les porteurs du projet. La construction et l’exploitation d’un port de cette envergure contribueront fortement aux émissions de gaz à effet de serre, allant à l’encontre des efforts nécessaires pour lutter contre le changement climatique. Cette absence d’évaluation souligne un manque de considération des enjeux environnementaux ainsi que de transparence de la part des promoteurs du projet.
Sur les enjeux de la biodiversité et des milieux naturels,
L’impact sur la biodiversité est également préoccupant : 20 hectares de zones naturelles et humides, essentielles pour la biodiversité locale, seront artificialisés (panneau n°1 – présentation du projet d’ensemble). En effet, le site de Bordelan abrite des espèces sensibles, dont certaines sont vulnérables ou protégées. Les zones de friches, les éléments boisés et les secteurs humides sont particulièrement importants pour la faune locale. Parmi les espèces recensées, 56 oiseaux protégés, des mammifères comme l’écureuil roux et le hérisson d’Europe, ainsi que des chauves-souris quasi menacées, dépendent de cet habitat pour leur survie (page 133 de l’état initial de l’environnement). La perturbation de ces habitats risque de mettre en péril ces espèces.
Par ailleurs, le projet ne prend pas en compte l’importance de la vallée de la Saône comme axe migratoire majeur pour l’avifaune (page 53 de l’état initial de l’environnement). Cette zone sert de lieu de stationnement, d’alimentation et de reproduction pour plusieurs espèces d’oiseaux remarquables (page 53 de l’état initial de l’environnement). La mise en œuvre du projet entraînerait une fragmentation de ces habitats, compromettant la conservation locale des espèces.
Sur les enjeux liés à la séquence Eviter Réduire Compenser (ERC),
En premier lieu, nous nous interrogeons de l’absence de la séquence ERC dans l’étude d’impact. Dans son préambule il est précisé : “qu’il s’agit d’un document provisoire qui est régulièrement mis à jour depuis 2016, qui porte sur la totalité du projet et pas uniquement sur le port. Même si ce document est inachevé, le délai dans lequel ce document sera achevé doit être communiqué.” La séquence ERC sera présentée lors de l’enquête publique. Au vu de la date de création du document, il est difficilement compréhensible que la SERL ne soit pas en mesure de présenter l’étude d’impact complète en présence de la séquence ERC.
En second lieu, nous estimons que la séquence ERC telle que présentée dans le Panneau numéro 3 est lacunaire. En effet, il est prévu que “Dans le cadre des travaux d’aménagement du port du Bordelan, le syndicat mixte veut aller au-delà des obligations légales ERC”. Pour accomplir cette mission, la SERL propose de réaliser une dérogation espèces protégées. Elle estime que “son obtention garantira une limitation des impacts sur la faune et flore générés par les aménagements. Ils seront compensés par différentes mesures telles que la plantation de haie, la pose de nichoir, la création de mare […]“. Ce qui est proposé par la SERL dans ce panneau ne peut pas être qualifié comme allant au-delà des obligations environnementales, mais ni plus ni moins que du respect de la réglementation. Nous rappelons que l’article L. 411-2 du code de l’environnement prévoit la possibilité de délivrer une dérogation espèces protégées dès lors qu’il n’existe pas d’autre solution satisfaisante si cela est justifié d’un intérêt public majeur qui peut être économique. Ainsi, la simple présence de Myotis myotis (page 78 de l’étude d’impact) ou le crapaud calamite (page 73 de l’étude d’impact) ne pouvait conduire indubitablement à la demande d’une dérogation espèces protégées par la SERL. De plus, nous soulignons que la SERL ne présente uniquement que des mesures de compensations. Or les mesures de compensation ne doivent intervenir qu’ en dernier lieu, après les mesures d’évitement et de réduction dont nous n’avons aucune mention dans les documents présentés lors de cette concertation publique.
Enfin, nous rappelons que la DDT a constaté des non-conformités notamment en ce qui concerne la mise en oeuvre des mesures compensatoires dans la phase I du projet (Arrêté préfectoral n° DDT_SENR_2024_02_16_B 19 du 16 février 2024 mettant en demeure la société d’équipement du Rhône et de Lyon de procéder à la régularisation administrative des travaux de retroussement de la plate-forme des « Prés Clôtres » (ZAC du Bordelan phase I) sur la commune d’Anse). Parmi les non-conformités et la demande de régularisation, nous pouvons trouver : “la création d’une quatrième mare pour pallier au dysfonctionnement de la deuxième mare”, “de procéder à l’entretien immédiat du secteur visé par la mesure et la remise en état des hibernaculums” ou encore “de fournir les éléments de suivi (rapport écologique) établissant l’état des nichoirs installés (types, de nichoirs et localisations précises)… Nous demandons donc une communication publique et régulière sur l’avancée de la régularisation de ces non-conformités par la SERL.
En conclusion, FNE-Rhône émet un avis défavorable au projet . Nous remettons en cause le bien-fondé du projet qui ne prend pas suffisamment en compte les aspects écologiques du site. Le développement touristique et économique ne permettant pas, à lui seul, de justifier les impacts engendrés par ce projet. Nous demandons de reconsidérer ce projet et d’explorer des alternatives plus respectueuses de l’environnement.
Villeurbanne, le 26 juin 2024
Frédérique Resche- Rigon
Présidente
Le projet n’est pas raisonnable
Le projet n’est pas raisonnable ni souhaitable au regard des conséquences sur les zones humides et la biodiversité. Une alternative limitant les impacts, cad d’une envergure plus limitée doit être recherchée.
Les zones humides sont actuellement
Les zones humides sont actuellement reconnues comme très importantes dans la lutte contre le dérèglement climatique, captatrice de carbone, réserve d’humidité et de biodiversité.
Le projet d’aménagement est ancien depuis connaissances et observations et accélération des risques et enjeux climatiques ont évolué et montrent ce projet dangereux et obsolète. J’y suis donc tout à fait opposée. Ne serait-ce que par le problème d’amener une concentration importante de personnes sur une zone fragile à préserver et l’importante artificialisation des sols que cela va entraîner. Allons Allons ! A nos élus et aménageurs de se ressaisir et abandonner un projet qui n’est plus d’actualité et réinventer avec l’aide des expertises actuelles sur les risques majeurs encourus pour la survie des générations futures des initiatives plus humbles mais où tous pourraient trouver leur compte
Ce projet pose donc de
Ce projet pose donc de nombreuses interrogations dans le contexte actuel d’effondrement de la biodiversité et de recherche de solutions d’adaptation et d’atténuation aux nombreuses conséquences du dérèglement climatique (inondations de plus en plus fréquentes, canicules à répétition, adaptation d’espèces invasives, perte d’habitats pour la faune dont nous dépendons…). Seuls des écosystèmes naturels et forts seront capables de nous aider à supporter ces impacts. C’était moins le cas dans les années 90, durant lesquelles ce projet avait été imaginé.
De nombreuses espèces protégées en seront une fois de plus fortement fragilisées, des arbres centenaires seront abattus, la concentration humaine générera de nouvelles pollutions, etc… Ce sont les arguments défendus par le collectif d’associations (France Nature Environnement Rhône, la Ligue de Protection des Oiseaux du Rhône, le National de Protection des Arbres, Arthropologia, Nous voulons des coquelicots, Alternatiba Villefranche-sur-Saône) qui s’est formé et s’oppose à ce projet qualifié de pharaonique. Les associations défendent l’idée d’un projet alternatif et dans l’air du temps. Selon elles, un aménagement est possible, tout en préservant la biodiversité et ouvert à l’homme. Cette cohabitation est possible, à l’image du parc de Miribel Jonage.
Je pense qu’il s »agit d’un
Je pense qu’il s »agit d’un projet totalement déraisonnable, est-ce réellement nécessaire d’augmenter les bateaux naviguant sur la Saône ? Écocide, délétère, destruction des lieux de vie d’animaux sauvages (visibles et invisibles ) destruction d’une zone humide , pas d’arguments positifs pour ce projet
Ce budget pourrait être utilisé pour améliorer la circulation des vélos à Villefranche, ou participer à « débétonner » nos espaces communs imperméabilisés depuis des décennies
Ce projet est une folie
Ce projet est une folie ubuesque digne des années 60.
A l’heure de la transition écologie, de la sobriété, de la préservation de l’environnement et de la biodiversité, ne pas tenir compte de ces éléments est anti-démocratique et criminel.
En matière d’inégalités climatiques : les 1% les plus riches émettent autant de CO2 que les 2/3 les plus pauvres de l’humanité (source : Oxfam France).
En tant que citoyen et résidant de la commuté de commune des pierres dorées mais également adhérent du Club Nautique de Trévoux (section aviron) je suis fermement opposé à ce projet.
@ toutes les instituions publiques : aucun centime d’€ ne doit subventionner ce projet !
Passionnée de navigation et de
Passionnée de navigation et de nature, je pense, contrairement aux nombreux avis négatifs, que ce projet, même si cela fait très longtemps que l’on en parle, peut être l’occasion de réunir ceux qui aiment la Soane, ceux qui ne partent pas en vacances et qui pourraient profiter des infrastructures, ceux qui veulent entretenir nos beaux et riches espaces….oui, nous avons une perle vivante avec notre fleuve, tou le monde est d.accord… mais quid de la préserver? ce ne sont pas les espaces laissés à l’abandon, les plantations non entretenues, sa faune et sa flore, (dont tous veulent prend soin, mais la méconnaissent !) qui vont nous permettre de prendre soin de ce joyau… Ceux qui fréquentent les fleuves savent que les ports sont des espaces préservés parce que vivants, que rien n’existe entre Lyon Confluence ( avec un nombre limité d.anneaux) et Macon. Sur Macon, la cohabitation est parfaitement réussie entre plaisanciers’ pecheurs’ sportifs’ habitants….Et c.est un vrai plus pour cette capitale de Bourgogne , Chez nous, cela devrait être possible!
Bonjour,J’ai un avis favorable si
Bonjour,
J’ai un avis favorable si ça peut ramener de l’emploi dans dénaturer le site et préserver un maximum de biodiversité.
Bonjour,Je pense que ce projet
Bonjour,
Je pense que ce projet est d’un autre temps. L’heure n’est plus à multiplier les loisirs avec des bateaux à moteur thermique ou des jets skis particulièrement bruyants au bord d’une autoroute déjà très bruyante. Ajouté à cela le fait de ne pas respecter une zone écologique.
Cerise sur le gâteau, je suis rameur au club de Trévoux et le port etant sur notre zone de navigation et il ne sera pas possible de ramer au milieu des vagues des bateaux.
Donc je suis évidemment contre ce projet et pour tout projet respectant l’écologie et à base de loisirs non motorisés.
Super projet.
Super projet.
Ce projet est révélateurs :
Ce projet est révélateurs : les collectivités locales vont a contre-sens des enjeux environnementaux et de transition nécessaire de nos territoires. L’argent public est dépensé sans discernement. Plutôt que d’offrir à la population une véritable politique en faveur des déplacements alternatifs à la voiture, un cadre de vue apaisé et des infrastructures permettant le confort et la sécurité des cyclistes habitants ou visiteurs, on poursuit l’artificialisation de sites naturels, l’extension des tissus urbains, la construction de zones économiques qui génèrent toujours plus de trafic routier, consomment et dégradent les ressources naturelles et les milieux et émettent toujours plus de gaz à effet de serre. Tout ça pour accueillir plus de bateaux à moteurs et des jet skis bruyant qui dégraderont le cadre de vie et le cadre de nature du val de Saône et de sa voie bleue.
Valoriser ce site naturel de proximité, potentiellement touristique OUI. Mais en l’état ce projet est d’un autre temps et devrait être redessiné sous une programmation différente – imaginons un projet plus vertueux et dans l’air du temps. C’est dans ce sens que devrait se faire la concertation.
Je suis contre ce projet
Je suis contre ce projet qui va à l’encontre des enjeux de développement durable: destruction d’un site naturel (de sa faune et de sa flore), recrudescence de bateaux à moteur thermique sur la Saône apportant pollution et nuisance sonore, difficulté de circulation routière. Ces bateaux vont également perturber les pêcheurs et les rameurs dont les activités sont hautement plus respectueuses de l’environnement.
Je vous remercie de bien vouloir renoncer à ce projet.
Magnifique…est sans doute le qualificatif
Magnifique…est sans doute le qualificatif qui aurait pu coller à ce projet vieux de 30 ans du plus grand port fluvial de France si aujourd’hui il n’était pas devenu obsolète dans le contexte de la nécessaire protection du vivant et de l’environnement.
On nous parle d’une betonisation partielle du site, d’une « réalisation exemplaire sur le plan environnemental ». De qui se moque-t-on lorsqu’on prévoit d’urbaniser 20 hectares ?
Aujourd’hui, nul élu politique responsable ne peut promouvoir un projet « climaticide » au nom d’une dynamisation touristico/économique dépassée qui va à l’encontre de l’intérêt général au profit d’une poignée de privilégiés.
Car oui, défini par l’Organisation mondiale du tourisme, un tourisme durable tenant compte de ses impacts économiques, sociaux et environnementaux est possible.
Parlons encore Tourisme…
A l’heure ou certains élus, avec l’aide de l’Etat, mettent en place des plans de régulation des flux touristiques pour préserver certains sites, Anse ne mériterait elle pas, au lieu de viser l’asphyxie, d’être la vitrine et l’une des portes d’entrée de notre beau secteur des Pierres Dorées, de notre beaujolais riche de culture, de tradition, de patrimoine, d’espaces -encore-préservés et d’authenticité ?
Que penser d’un projet qui tuera la pratique de l’aviron, sport doux, à Trévoux (Club Nautique de Trévoux) non évoqué dans le projet, au bénéfice de quelques plaisanciers ?
Les rameurs pourront ranger leur pelles, et les pêcheurs leurs cannes…
Oserais-je enfin parler de Pacte Social définitivement rompu si d’aventure ce projet visant le confort de quelques privilégiés voyait le jour ?
Pour toutes ces raisons je suis opposée à ce projet.
Comme de nombreux habitants d’Anse,
Comme de nombreux habitants d’Anse, je suis contre ce projet qui paraît effectivement anachronique au vu des enjeux environnementaux actuels et réservé à une minorité de personnes aisées (alors qu’il est financé avec nos impôts).
J’aimerais mieux également que mes impôts servent à financer des pistes cyclables sécurisées pour se rendre au lac et près de la Saône ou pour circuler dans la ville.
Par ailleurs, il y a insuffisamment d’informations claires sur les impacts environnementaux et les mesures prises pour les minimiser.
Je crois qu’il est plus
Je crois qu’il est plus que temps de stopper ces projets qui nuisent à la biodiversité, polluent et défigurent les paysages !
A qui va profiter ce port ? A quelques privilégiés qui peuvent acheter et entretenir un bateau ? Il y a sans doute mieux à faire avec cet argent pour le bien être de tous et la sauvegarde de notre écosystème !
J’émets un avis défavorable à
J’émets un avis défavorable à ce projet digne ‘un autre siècle, assez de bétonisation ,de pollution au profit de qui?Il faut protéger les zones humides
Stop au béton qui recouvre
Stop au béton qui recouvre tout et qui est en cause d’un nombre incalculable de soucis d’inondation. Laissez donc la nature tranquille !
Le plus gros port touristique de France, a-t-on vraiment besoin de ça, alors que l’on devrait être dans une ère de sobriété ?
Respectez la nature sauvage, laissez la tranquille
Projet qui va encore dénaturer
Projet qui va encore dénaturer les bords de Saône avec du béton (constructions)du pétrole (bateaux) des infrastructures (surpopulation) qui vont encore engendrer plus de pollution …et les habitants des environs qui ne pourront plus profiter des lieux….tout cela pour satisfaire une catégorie de privilegies…stop
Je suis contre ce projet,
Je suis contre ce projet, compte tenu de l’aspect « gigantesque » du développement de ce site à son terme. En effet, les projets immobiliers appariassent « raisonnables » mais connaissant le talent des promoteurs qui font fureur dans notre secteur, il n’existe aucune garantie de maitrise de ce secteur. Par ailleurs, les accès routiers déjà surchargés aujourd’hui ne sont pas en capacité de résorber un trafic supplémentaire.Enfin, avec l’accès actuel à la Saône nous avons déjà notre lot de nuisances de jet ski et autres hors bord qui ne respectent aucunement la quiétude des riverains, alors imaginez 350 bateaux ….Espérons que les élus concernés dépenseront l’argent public de meilleure façon.
43 ha artificialisés, un volume
43 ha artificialisés, un volume important de terrassements et de déblais (285 000 m3 !!!), une extraction avec trafic s’élevant à 200 véhicules /j sur une durée de 5 mois sans compter la création de pistes pour les engins !!! 1 million de m3 de boues ! 17,5 M€ d’argent public dépensé sur 32 M
Finalement une présentation d’un projet du siècle dernier (des années 1990 j’ai entendu dire pour les premières évocations…) qui manque trop de profondeur et de recul, un état initial trop lacunaire dans pas mal de thèmes… Plus grave, il n’est étonnement pas mis à notre disposition d’analyse des impacts du projet sur les différents champs environnementaux avec l’utilisation de la séquence éviter/réduire/compenser comme tout projet digne de ce nom.
N’oublions pas non plus, qu’on ne compense malheureusement jamais totalement les impacts sur la biodiversité, il y a toujours de la perte nette étant donné qu’on va ici bétonner des espaces naturels et tenter de les compenser ailleurs sur des espaces ayant déjà un intérêt pour la biodiversité et qu’on va tenter d’améliorer.
Ajoutons qu’il ne suffit pas seulement de vouloir tenter d’afficher dans la communication une prétendue ambition « d’exemplarité en termes de développement durable » mais cela doit être confirmé par la solidité des réalisations… Sinon on serait amené à requalifier cela…. en green washing !
Combien d’ha d’espaces naturels va-t-on encore devoir voir bétonner et artificialiser pour que le siècle des maires bétonneurs prenne fin et qu’il se rendent compte qu’il faut évoluer ? Quelle tristesse …
Finalement le port fluvial du Bordelan à Anse, n’est-ce pas un projet des temps anciens pour des personnes favorisées avec leurs jolis bateaux ? N’est ce pas un projet qui n’est plus adapté aux enjeux du 21e siècle ?
Pour toutes ces raisons, j’émets un avis défavorable.
Bonjour,Encore la destruction d’un site
Bonjour,
Encore la destruction d’un site naturel avec bétonnage pour le plaisir de quelques uns et pour faire du fric.
Cet espace doit être une zone préservée tellement c’est sympa de s’y balader à pied ou VTT.
Arrêtons le bétonnage quand on voit tous les désastres actuellement.
Je connais la zone concernée
Je connais la zone concernée et je m’oppose à ce projet en tant que citoyenne et voisine de la commune de Villefranche.
L’impact environnemental serait conséquent sur une zone côtière des boords de Saône déjà bien abîmée par les usines de BTP à proximité.
De plus, les nuisances liées à la création d’un port de plaisance sont un non-sens alors que l’essence augmente et que le pouvoir d’achat baisse : cela ne concernerait qu’un type privilégié et/ou non conscient écologiquement donc une minorité, alors que ce patrimoine naturel appartient à tous
Au point où nous en
Au point où nous en sommes, il est urgent de mettre l’argent pour lutter contre le réchauffement climatique, et ce projet ne va pas du tout dans ce sens!
Je suis pour ce projet
Je suis pour ce projet qui apportera tourisme et travaille. La saone est un bon levier du tourisme, villefranche et anse deviendrais donc plus attractif
Comment peut-on encore penser à
Comment peut-on encore penser à ce genre de projet en 2024 ??
Ecocide et délétère, cet aménagement coute une fortune, bousille l’environnement et ne s’adresse qu’à une poignée.
Un élu qui s’accroche à son projet, comme Trévoux à des dinosaures…
Je ne suis pas favorable
Je ne suis pas favorable à ce projet, qui ne touchera qu’une part faible de la population en général, et qui apportera peu aux Ansois, si ce n’est plus de circulation sur un axe très dangereux pour les modes doux (vélos piétons).
On prévoit d’artificialiser des espaces naturels riches en biodiversité, compenser avec quelques haies, pour une nouvelle zone d’activité isolée alors qu’il y en a déjà tout autour de la commune, qui peinent déjà à attirer et maintenir les entreprises.
Au lieu de développer des projets qui poussent à plus de consommation, avec un intérêt environnemental nul et des intérêts économiques et sociaux douteux, je préfèrerais des projets visant la préservation des ressources en eaux et des milieux naturels, la production d’énergie renouvelable (solaire, géothermie), le développement de modes de déplacement doux, l’accès à la culture pour tous…
Je ne suis pas favorable
Je ne suis pas favorable à ce projet qui n’apporte rien à notre jolie ville de Anse. La pollution des bateaux à moteur, les déchets que les propriétaires vont laisser et la destruction d’un lieu de vie des animaux sauvages (chauve-souris, oiseaux, tortues et oui il y en a, comment sont-elles arrivées là ? mystère mais elles sont là, canards, poissons, …) ne vont pas dans le sens de l’écologie. A Anse, nous laissons pousser l’herbe pour préserver la diversité ou juste pour se donner bonne conscience ?
Ce projet ne va profiter qu’à ceux qui ont acheté des anneaux pour amarrer les bateaux et qui les louerons aux plaisanciers, comme on loue un appartement !
Malheureusement le projet se fera car il y a trop d’argent d’investie déjà.
Je suis contre ce projet.
Je suis contre ce projet. Dépense d’argent public pour artificialiser des espaces naturels à préserver.
Mieux vaudrait prendre au sérieux les actions à mener pour faire face à l’urgence de lutter contre le réchauffement.
Je suis TOTALement CONTRE ce
Je suis TOTALement CONTRE ce projet.
Comment prétendre au respect de la biodiversité, à la préservation des zones humides… alors que nous connaissons la responsabilité des activités humaines sur le dérèglement climatique ?
L’artificialisation des surfaces, le développement des loisirs de masse, l’usage des moteurs thermiques dans les eaux… a démontré partout son pouvoir de nuisance et de destruction de la Vie !
Il serait temps que nos décideurs et les citoyens qui ont les moyens financiers de se payer ce type de « loisirs », fassent enfin le lien entre ces pratiques et toutes les conséquences sur notre santé, notre alimentation.
En continuant d’empoisonner l’eau, les terres, l’air, nous développons cancers, allergies, problèmes respiratoires… et diminuons notre espérance de vie en bonne santé.
Il ne s’agit pas de quelques lubies « écolos », mais d’un LIEN de CAUSES à EFFETS qu’il faut enfin avoir le COURAGE d’ASSUMER.
Je ne comprends pas qu’il
Je ne comprends pas qu’il soit envisagé d’investir autant d’argent public dans un projet aux conséquences si négatives pour le climat et qui n’apporte de bénéfices qu’à quelques-uns :
– L’activité de port de plaisance est basée sur des bateaux à moteur, par là-même polluants et consommateurs d’énergie fossile
– Les bateaux à moteur ont un impact négatif sur la faune et la flore fluviales
– Ils perturbent les autres usagers de la Saône respectueux de l’environnement : rameurs, pêcheurs…
– L’artificialisation de 20 ha que prévoit le projet global, et le développement d’une zone de loisirs commerciale, dans une zone renaturalisée, est délétère pour l’environnement et les mesures compensatoires n’empêchent pas ceci
– Si l’activité se développe, quelles conséquences sur la circulation routière dans la zone ?
Un port de plaisance
Un port de plaisance en 2024 :vous plaisantez ou quoi ?
Je ne comprends plus ce monde.
Tissianim
encore de l’argent mis à
encore de l’argent mis à profit pour les nantis….tout le monde n’a pas un bateau ….
et aucun respect de la nature en grand danger
Stop au projet, svp !!!
pensez à vos enfants et aux générations futures: la terre doit leur être laissée en bon état .
Je m’oppose à ce gros
Je m’oppose à ce gros projet qui conduira à l’artificialisation de 20ha de terres renaturalisées, à une augmentation de la circulation, au développement de la navigation de plaisance, consommatrice d’énergie et porteuse d’impacts négatifs sur la flore et la faune fluviales.
Bonjour J’habite Saint bernard.La mise
Bonjour
J’habite Saint bernard.
La mise en place de ce port ne doit pas impacter le peu de nature restant dans ce lieu.
Des chevreuils. Renards…vivent là-bas. Ils se déplacent aussi, donc prévoir des itinéraires pour eux, autrement dit ne pas fermer ni grillager le site.
Par ailleurs, des affuts de chasse sont positionnés dans les petits bois derrière le lac. Cela devrait être interdit, j’imagine que cela se fera. J’aimerais voir une note la dessus.
Je m’oppose particulièrement à une éventuelle construction de Parkings en lieu et place des petits bois existants.
Si le port se construit, alors des accès piétons sécurisés devraient être installés depuis Anse et depuis Saint Bernard.
L’accès à la base nautique devrait être payant, sinon trouver une solution pour limiter un peu le nombre de touristes.
Imposer une participation financière pour le nettoyage du site à la direction de l’activité de loisir gonflable sur le lac
Bien à vous
Je pense que c’est une
Je pense que c’est une catastrophe écologique sans vrai bénéfice économique et qu’il faut à tout prix arrêter ce projet ! Il en va de la survie d’une biodiversité riche et nécessaire au bon fonctionnement de l’environnement. Si nous laissons faire, il sera trop tard
Bonjour, Nous allons avoir le
Bonjour,
Nous allons avoir le Parc Dinosaures du côté Trévoux et le Port Plaisance Le Bordelan du côté Anse.
A Saint Bernard, nous allons être pris en étau.
Que de monde et véhicules sur l’Avenue Valadon et le Pont de Saint Bernard qui devrait être reconsidéré à tous les niveaux, portage de véhicules et surtout prévisions de promeneurs et vélos…..
En plus nuisances sonores et trafic……
Pour toutes ces raisons, je suis contre.
Où vont nos impôts ???
R. Perotto
Je suis contre ce projet.Ce
Je suis contre ce projet.
Ce projet est complètement anachronique compte tenu des enjeux écologiques actuels et d’une grande injustice sociale vu les sommes en jeu et le nombre de personnes (aisées) concernées.
Quelle est la pertinence de créer quelques emplois de service en détruisant une zone humide sur un territoire déja bien dé-veloppé (-vasté) ?
La richesse n’est-ce pas plutôt de conserver les quelques miettes de zones ‘naturelles’ qui nous restent en dehors des zones artisanales, des lotissements, de l’autoroute, des zones cultivées… ?
Laurent D
La LPO AuRA a pour
La LPO AuRA a pour objet d’agir a pour objet, sur le territoire de la région Auvergne-Rhône-Alpes, d’agir ou de favoriser les actions en faveur de la nature et de la biodiversité. La LPO AuRA est agréée au titre de la Protection de l’Environnement, dispose également de l’agrément « Jeunesse et Éducation populaire » délivré par le Ministère de l’Éducation Nationale et est habilitée à participer aux débats sur l’environnement dans le cadre d’instances départementales ou régionales.
A travers les paragraphes suivants nous souhaitons développer notre position sur le dossier de concertation du projet du port du Bordelan.
Insuffisances sur la justification du projet
La LPO émet de forts doutes sur la justification du projet du Bordelan, que ce soit sur le port fluvial comme sur les autres programmes projetés. Ce projet implique une consommation importante de foncier non-bâti, des atteintes fortes à l’environnement et la destruction d’espèces protégées, impliquant qu’il soit justifié par une raison impérative d’intérêt général majeur.
Les éléments présentés ne sont pas suffisants à cet égard : aucune étude de marché complète et récente ne vient justifier l’opportunité de réaliser un port fluvial d’ampleur, ou démontrer que sa réalisation répond à une nécessité d’intérêt général. Aucun site alternatif n’est présenté, alors qu’au moins une partie de la programmation, correspondant à des activités économiques, pourrait être positionnée dans des espaces présentant des incidences moindres sur l’environnement. La création d’emplois potentiels seule ne constitue pas une justification suffisante eu égard à l’importance des impacts sur l’environnement.
De nombreuses carences dans le dispositif de concertation
Nous jugeons également que la mise en œuvre de la concertation par le SMB ne répond pas aux obligations de l’article L 103.4 du Code de l’Urbanisme précisant que “les modalités de la concertation permettent, (…), au public d’accéder aux informations relatives au projet et aux avis requis par les dispositions législatives ou réglementaires applicables et de formuler des observations et propositions qui sont enregistrées et conservées par l’autorité compétente” en raison des insuffisances des pièces présentées dans le dossier de concertation :
• Insuffisance des informations du dossier de concertation : Le dossier de présentation du projet, d’un format en 4 pages, est trop peu détaillé pour formuler un avis éclairé. Le projet n’est pas présenté dans son ensemble. Des informations essentielles manquent à la bonne compréhension du projet : identité du MOA, historique, justification du choix du projet et alternatives envisagées, étapes et délibérations précédentes, plan de situation, contexte territorial, articulation avec les documents d’urbanisme et effets cumulés, procédures applicables, budget et plan de financement, programme détaillé …
• Une concertation non sincère : selon la jurisprudence du Conseil d’Etat (CE 6 mai 1996, Assoc. Aquitaine alternatives, req. n°121915), “ la concertation préalable doit être conduite avant que le projet ne soit arrêté dans sa nature et ses options essentielles et que ne soient pris les actes conduisant à sa réalisation”. Or, le dossier du porteur de projet ne présente aucune variante sur les alternatives de localisation ou de conception. Les options essentielles semblent d’ores et déjà avoir été définies. Par ailleurs, le planning synthétique semble ne laisser aucune place à l’évolution du projet suite à la concertation (choix du gestionnaire défini en 2024).
Des ambitions “biodiversité” trompeuses
Un des panneaux de concertation affirme que le SMB souhaite aller “au-delà des obligations légales ERC pour protéger la biodiversité du site” mais n’en précise pas le contenu. La suite du paragraphe précise qu’une dérogation espèces protégées sera demandée et que les mesures seront mises en œuvre avant les travaux, ce qui est simplement l’application des obligations légales. Ainsi, l’affirmation disant que le SMB “veut aller au-delà des obligations légales (…) ” n’est pas justifiée.
Les panneaux d’information rappellent la 1e phase de compensation écologique, des exemples d’espèces protégées impactées ainsi que les engagements ERC du maître d’ouvrage. Il est précisé que “les collectivités (…) s’engagent à entretenir les zones compensées du 50 ans minimum”, ce qui fait référence aux mesures de compensation. Toutefois, les mesures ERC (Eviter – Réduire – Compenser) ne sont présentées ni dans ces panneaux ni dans l’état initial environnemental. Cette mention laisse supposer que les mesures ERC sont déjà définies mais non divulguées. Nous supposons donc une rétention d’information, qui empêche donc que le public puisse formuler un avis éclairé, dans l’esprit d’une concertation préalable.
Il est important de rappeler que des mesures ERC ont déjà été prévues lors de l’aménagement de la phase 1 du projet (terrassement de la partie Ouest du site) mais n’ont pas été mises en œuvre de manière satisfaisante. Les services de la DREAL ayant constaté des non-conformités sur leur réalisation, ont établi un rapport en manquement du 25 septembre 2023 suivi par une mise en demeure le 16 février 2024 contraignant la SERL, maître d’ouvrage délégué du SMB, de procéder à la régularisation administrative des travaux de retroussement de la plate-forme des « Prés Clôtres » (ZAC du Bordelan phase I) sur la commune d’Anse (69).
Ces manquements témoignent du manque de considération des enjeux environnementaux par le porteur du projet et incitent à une grande prudence sur la réalité de la mise en œuvre des mesures annoncées. A ce titre, des mesures réelles d’évitement des impacts les plus importants doivent être mise en œuvre, dont la remise en question de la programmation présentée du projet et limitant au maximum les programmes présentant des incidences sur des espaces sensibles, et la suppression des programmes pouvant être localisés dans des secteurs présentant des incidences moindres.
Sur l’état initial environnemental :
Il est très surprenant de fournir un état initial environnemental (EIE) incomplet, et détaché de la programmation du projet et de ses mesures ERC. Un dossier de concertation est un document synthétique qui doit présenter les grands enjeux du projet. L’EIE présenté ici n’est pas facilement accessible au grand public : enjeux écologiques relevés dispersés dans les rappels réglementaires, absence de résumé non technique et tableau de synthèse trop peu explicite
Certains éléments fondamentaux ne sont d’ailleurs pas actualisés, par exemple l’analyse de la compatibilité avec les derniers documents d’urbanisme révisés. Par ailleurs, la qualité des inventaires menés est insuffisante. Nous pouvons par exemple citer les carences suivantes :
• En premier lieu la liste des espèces identifiées pour l’analyse des impacts se base en grande partie sur les données de la LPO récolté jusqu’en 2016, mais n’a pas pris en compte les données récoltées depuis cette date et pourtant transmises et consultables sur le site de l’ORB. Pour ne citer que quelques exemples, Le Pic Noir, la Pie grièche écorcheur ou encore le Râle d’eau ont bien été observés par la LPO entre 2021 et 2024 sur le site avec des indices de nidification pour plusieurs d’entre elles.
• Aucune présentation de la méthodologie utilisée pour l’inventaire acoustique des Chauves-souris. Il n’est pas fait mention du nombre de soirées et d’heures d’écoute, ce qui confère aucune valeur d’évaluation au nombre de contacts mentionnés par espèce. Un protocole standardisé, associé à un référentiel d’activité permettant d’évaluer l’attractivité des chauves-souris a été développé par le MNHN, et représente le minima pour une évaluation de ce type. De plus, le tableau d’analyse des enjeux comporte des incohérences, notamment concernant le Murin de Bechstein. La cartographie d’habitats démontre la probabilité de gîtes sur l’aire d’étude, et son statut de conservation national et régional étant particulièrement dégradé, rien ne justifie que l’enjeu soit évalué comme « Faible ». Il en est de même pour la Noctule de Leisler ou le croisement entre milieu et statut devrait conduire à une évaluation de l’enjeu plus important. La sous-évaluation de ce groupe, en premier lieu au niveau de la méthodologie est d’autant plus problématique que les études menées en 2022 et 2023, sur le site Natura 2000 du Val Saône situé dans la continuité amont du site ont montré l’importance des milieux humides et prairies du Bord de Saône pour les chiroptères d’un très large périmètre. Aucune évaluation de l’impact sur les territoires de chasse (et par conséquent la ressource alimentaire) n’est réalisée ce qui est un manque substantiel de l’évaluation.
• Les espèces de mammifères difficilement détectables comme la Loutre d’Europe, auraient dû faire l’objet de prospection par ADN environnemental, étant donnée la grande difficulté d’identifier la présence de ces espèces pas simple recherche d’indices. De plus, le castor et la loutre sont considérés comme présents sur la commune comme l’indique l’arrêté préfectoral suivant : 2021xx_AP2021-A73_Castor_Loutre.pdf (rhone.gouv.fr). Etant donnée la difficulté de déceler sa présence, le principe de précaution devrait conduire à sa considération comme présente.
Ce recensement des insuffisances est non-exhaustif : de nombreuses carences ont été relevées dans le reste du dossier.
La LPO rappelle les forts enjeux écologiques du secteur du projet, qui sont insuffisamment développés dans le dossier de concertation :
• Le site du Bordelan est identifié comme un site à enjeux pour la biodiversité par l’ensemble de la communauté naturaliste et un milieu unique si l’on se place à l’échelle de la CCBPD. Il est déjà isolé entre les zones fortement contraintes de Villefranche et Arnas alors qu’il constitue le dernier écosystème de ce type, encore fonctionnel sur le territoire.
• Il représente une continuité écologique Nord Sud importante pour de nombreuses espèces, en lien avec le site Natura 2000 du Val de Saône, situé en amont. Cette zone est identifiée au SRADDET.
• Il présente des milieux diversifiés fréquentés par de nombreuses espèces protégées, et supporte des fonctionnalités écologiques importantes : zone de chasse, d’alimentation, de reproduction, de déplacement…Réaliser le projet tel qu’il est conçu signifierait une extinction des fonctions écologiques du site : le fonctionnement du Bordelan en tant qu’espace naturel disparaîtrait.
Au regard des enjeux écologiques majeurs du site, la LPO se positionne contre le projet du port fluvial du Bordelan tel qu’il est présenté et appelle le maître d’ouvrage à reconsidérer l’opportunité du projet et ses modalités de réalisation.
Groupe Alerte et Veille Écologique
LPO AURA – délégation Rhône
Que vont devenir les terres
Que vont devenir les terres de déblaiement ?
Avez-vous pensé au-devenir des digues dans le cas de grosses crues ?
Non à ce grand projet
Non à ce grand projet inutile.
Ce projet est une aberration ; écologique, sociale et politique.
Un autre monde est possible.
Résistance, ici et maintenant, contre le port d’Anse .
Merci au collectif qui œuvre dans ce sens,
j’espère que les décideurs nous donnera raison !
Interessée par la zone d’activité
Interessée par la zone d’activité qui dynamiserait Anse, mais préoccupée par les accès Anse centre / Bordelan qui ne sont pas travaillé et dangeraux a pied. Pour nous avec un fauteuil roulant c’est même carrément inacessible. Il serait interessant d’aller jusque la (y compris trottoirs jusqu’au local petit train).
Très beau projet, respectueux de
Très beau projet, respectueux de l’environnement.
Un plus pour le tourisme beaujolais.
Vivement qu’il se concrétise.
Non à ce projet climaticide
Non à ce projet climaticide et écocide. Quand nos élus vont-ils comprendre les urgences actuelles, réchauffement climatique et perte de biodiversité ? L’impact carbone de ce projet sera significatif. Est-ce trace que ces élus veulent laisser ?
Maintenant que l’on sait que
Maintenant que l’on sait que l’activité humaine est responsable du dérèglement climatique et de ses conséquences, un tel projet est irresponsable. Avant de chercher à compenser les dégâts occasionnés par ce projet, il vaudrait mieux éviter de détruire une zone semi-naturelle humide et la biodiversité qui s’y est développée. D’autres projets sont possibles plus respectueux de l’environnement et de la biodiversité. Prenez le temps de les étudier.
Ma famille et moi habitons
Ma famille et moi habitons Villefranche S/Saône. Nous nous sommes souvent promenés et nous promenons encore sur cette zone allant de Bordelan à Anse, à pied et à vélo. Elle est agréable par ses aspects sauvage et naturel. Nous sommes résolument opposés à son artificialisation. D’un point de vue général, il devient inhumain de supprimer des zones humides riches en biodiversité, en fabrication d’oxygène, en absorption de CO2, ce qui devrait être nos vraies priorités
Bonjour, merci pour cette concertation
Bonjour, merci pour cette concertation publique. Je donne ici mon retour concernant ce projet. 1/ C’est un projet qui est né en 2013. Il y a 30 ans, la situation écologique n’était pas aussi dramtique et il était peut encore possible d’imaginer un port de plaisance. Aujourd’hui, c’est un projet « has been » qui n’est plus connecté au présent. 2/ C’est un projet qui détruira une zone humide, de la faune et de la flore précieuse. A l’heure de la protection de l’environnement et de la lutte contre la pollution, ce projet est-il vraiment raisonnable ? 1 millions de visiteurs sont également prévus sur ce site : croire que l’environnement du lieu pourra être préservé, c’est du déni. 3/ Projet à 39,5 millions d’euros d’argent public. Franchement, n’y a-t-il pas d’autres priorités ? Dans le futur, Anse sera dans une zone de sécheresse à cause du réchauffement climatique où il fera plus de 40°C : que fait-on, comment allons vivre ? 4/ Pour qui est ce projet ? Pour une population aisée qui aura les moyens de s’amuser sur un bateau pendant que d’autres seront dans la misère économique. Pour moi, c’est un projet inégalitaire de plus qui renforce les injustices sociales. Conclusion : je suis contre ce projet qui n’est pas sérieux et qui n’est plus adapté à notre présent. J’aimerais que les pouvoirs publiques arrêtent de vivre dans le déni et se confrontent à la réalité. J’attends une décision lucide et radicale des décideurs qui, je l’espère, ouvriront les yeux. Merci.
Enfin un port de plaisance
Enfin un port de plaisance digne de ce nom dans notre belle région
Bordelan ne concerne qu’une infime partie de cette grande étendue sauvage, la bio diversité sera respectée.
Nous, rameurs du Club nautique
Nous, rameurs du Club nautique de Trévoux section aviron, nous nous inquiétons de ce projet à divers titres.
Premièrement, le trafic de bateaux à moteur intensif au pont de St Bernard et dans tout notre bassin est une
réelle nuisance pour notre pratique sportive. Il peut également poser de gros problèmes de sécurité avec des
bateaux qui vont traverser notre bassin pour entrer et sortir du port.
Deuxièmement, nous pratiquons un loisir vert, respectueux de l’environnement et nous défendons la qualité de
l’eau, de l’air et la propreté des berges. Nous craignons que cet afflux de fréquentation humaine et mécanique
n’engendre une dégradation de la Saône et ses abords.
Nous sommes favorable à tout autre projet de loisirs, aquatiques sans moteur, baignade, paddle, marche, vélo…
Nous, rameurs du Club nautique de Trévoux section aviron, nous nous inquiétons de ce projet à divers titres.
Premièrement, le trafic de bateaux à moteur intensif au pont de St Bernard et dans tout notre bassin est une
réelle nuisance pour notre pratique sportive. Il peut également poser de gros problèmes de sécurité avec des
bateaux qui vont traverser notre bassin pour entrer et sortir du port.
Deuxièmement, nous pratiquons un loisir vert, respectueux de l’environnement et nous défendons la qualité de
l’eau, de l’air et la propreté des berges. Nous craignons que cet afflux de fréquentation humaine et mécanique
n’engendre une dégradation de la Saône et ses abords.
Nous sommes favorable à tout autre projet de loisirs, aquatiques sans moteur, baignade, paddle, marche, vélo…
Bonjour, L’ANPEI (Association Nationale des
Bonjour,
L’ANPEI (Association Nationale des plaisanciers en Eaux Intérieures) est tout à fait favorable à ce beau projet très respectueux de l’environnement.
Nous aurions juste souhaité quelques places de plus pour les bateaux de passage de grande taille.
Ce projet est l’occasion de créer une zone d’activité au bord de l’eau pour les plaisanciers mais aussi pour tous les riverains avec un pole d’activité nautique et ludique pour tous.
Dans ce nouveau projet il
Dans ce nouveau projet il est important de développer les activités de loisirs. Pourquoi ne pas proposer un centre de plongée qui permettait d’attirer sur le territoire les plongeurs des alentours.
Cordialement
Contre ce projet ! Pour
Contre ce projet ! Pour qui ces bateaux, ces immeubles, ces allées bétonnées ?!
On a besoin de vraie nature, pas d’un lieu artificiel.
Cela fait 40 ans que
Cela fait 40 ans que j entends parler de ce projet et quel dommage qu il ne soit pas encore realiser ayant habiter Lachassagne pendant 25 ans ans c ‘ etait un projet magnifiquue a ev un port des hotels et commerces mais depuis les ecolos se sont emparés de tout ce futur et qui ne vaut rien de bon pour la beauté de ce beau village de Anse j ‘esper que ce beau projet aboutira enfin en respectant la nature il y a de la place pour tout !!!!!!!!
BonjourCe projet vise à encore
Bonjour
Ce projet vise à encore artificialiser des zones naturelles et aura un impact direct sur la biodiversité. Anse a malheureusement déjà beaucoup souffert d’une forte betonnisation depuis 15 ans.
Ce projet risque également d’encore augmenter la circulation donc de dégrader la qualité de l’air, qui, soit dit en passant, n’est plus mesurée depuis 2016…
Enfin comment est financé ce projet ? Quelles conséquences sur nos impôts sachant que les business plans sont généralement très optimistes …
Fabrice
Une fois de plus, on
Une fois de plus, on veut privilégier l’aspect économique d’un terrictoire au profit de la santé et de la biodiversité. L’impact sur la biodiversité serait désastreux si ce projet devrait voir le jour
Un projet totalement hors actualité,
Un projet totalement hors actualité, dispendieux et destructeur d’espaces naturels, de biodiversité pour quelques privilégiés qui ont encore les moyens de polluer avec un bateau à moteur.
Des hectares artificialisés alors qu’on a des alternatives écologiques, ludiques, pédagogiques à vous proposer pour faire de toute la zone entre Anse et Villefranche une zone exemplaire d’implantation des espèces, de circulations douces et de bain de fraicheur et de nature.
Soyez de votre temps !
Une honte ! Un projet
Une honte ! Un projet qui serait irréprochable sur le plan environnement ? De qui se moque-t-on ? Destruction de dizaines d’ha d’une zone humide abritant 70 espèces animales protégées (chiffre du syndicat cf p 88 du doc joint Etat initial de l’environnement !) ! Développer le trafic de bateaux à moteurs thermiques polluants ! Un impact carbone désastreux (d’ailleurs non évalué précisément ce qui montre que ces élus s’en fichent). Un coût pharaonique pour une minorité de personnes et un impact économique plus que douteux (le port serait utilisé essentiellement par des locaux -qui s’en passent fort bien aujourd’hui- et donc sans impact économique supplémentaire). Il y a mieux à faire pour la population avec 39.5M€ !
Je me suis promenée récemment
Je me suis promenée récemment sur le lieu du projet , un espace vert magnifique avec pleins d’animaux , d’arbres et de famille qui se promenait ou péchait ou se baignait même. Je suis donc opposée à ce projet qui dénature un espace naturel , un écosystème, un lieu de ressourcement, d’oxygène, de calme. Ce projet serait anachronique, sans sens, sans intérêt véritable et très cher. Je préfère vraiment que ce projet soit abandonné.
Ce projet permet de répondre
Ce projet permet de répondre à l’absence cruciale de port de plaisance sur l’agglomération lyonnaise.
Le projet de ZAC du Bordelan est un bel exemple d’aménagement de développement durable qui ménage à la fois l’économie, le social et l’environnement. Pour ce qui concerne l’environnement le projet fait la part belle au côté naturel sur la plus grande partie du site.
Sacrifier 20ha de zone humide
Sacrifier 20ha de zone humide où la nature est encore préservée pour en faire un port… de plaisance !!! Bateaux à moteurs contre martin-pêcheurs, bétonisation à outrance. Pour quelques personnes qui n’ont pas de mal à boucler les fins de mois. Qui a encore le luxe de se payer un bateau à moteur par les temps qui courent ? Pour quoi ?
Aller faire des ronds dans l’eau ? Pêcher les derniers poissons de la Saône? Tracter une midinette en ski nautique ? Non, décidément, je ne comprends pas ces projets pharaoniques destructeurs, pour le loisir de quelques-uns.
52° en Inde en ce moment. Les hommes y tombent comme des mouches. Le Venezuela a perdu son dernier glacier. Dans le Norfolk, des maisons détruites sur le littoral à cause de l’érosion due à la montée des eaux. Trois exemples des dernières 24h écoulées.
Rien à ajouter !
On aurait pu espérer qu’un
On aurait pu espérer qu’un projet aussi peu respectueux de l’environnement (Saône, oiseaux, terres…)et de la population locale (désirs et attentes des citoyens) ne voit jamais le jour après un abandon apparent. Mais la mairie n’ayant pas changé, pouvait-on réellement croire à sa disparition?
Bien entendu, je suis contre ce projet pharaonique, contre « ce terrain de jeu » pour dilettantes. L’argent public devrait servir au plus grand nombre, les besoins sont grands pour nombre de nos concitoyens.
Claude Llobell
Détruire des zones humides et
Détruire des zones humides et artificialiser les sols! Encore un projet qui va totalement à l’encontre des priorités du moment : lutter contre le dérèglement climatique, préserver la biodiversité. Tout cela avec des fonds publics et pour le profit de quelques privilégiés. Je suis totalement opposé à ce projet absurde et inutile.
Halte à la destruction des
Halte à la destruction des milieux humides permettant une biodiversité, sans parler de l’accueil des oiseaux.
Un tel projet alors que des tas de pays s’insurgent contre le surtourisme semble un peu déconnecté et dépassé.
Stop au béton et à la dictature du tiroir caisse.
Sylviane LLOBELL
En 2024, artificialiser plus de
En 2024, artificialiser plus de 20 ha de zone semi-humide pour permettre à des gens riches de faire joujou avec des bateaux à moteur est complétement anachronique au regard des enjeux climatiques et de l’effondrement de la biodiversité. Ce projet dans lequel, beaucoup d’argent public est injecté va profiter à une minorité de personnes à hauts revenus/patrimoine. L’impact carbone de ce projet n’est pas évalué. Pollution de l’eau, de l’air, nuisances sonores.
Le port de Anse est
Le port de Anse est une nécessité, nous sommes plaisanciers ,nous naviguons depuis des années avec des amis trois bateaux qu il faut amarrer .Nous rencontrons des difficultés, le port de Anse nous permettrait de faire une halte pour visiter la région. En tant que plaisanciers nous faisons travailler les commerces locaux ..L ’emplacement que j ai pu visiter serait idéal.
Tranchand Jean-Claude
En tant que commerçant à
En tant que commerçant à Anse, nous sommes très favorables à la réalisation du port de plaisance qui s’inscrit dans un ensemble cohérent.
Je suis totalement opposée à
Je suis totalement opposée à ce projet. L’artificialisation des sols qu’il implique aura des conséquences désastreuses sur la biodiversité.
La base de loisirs est
La base de loisirs est sur l’emprise du projet d’après les plans, mais sauf erreur il n’est nulle part fait mention de son devenir : qu’en est-il ? Car c’est bien cette zone (et ses accès) dont profitent les locaux et qui aurait bien besoin d’aménagements.
Ce projet ne répond pas
Ce projet ne répond pas aux enjeux climatiques et environnementaux actuels : Destruction d’une zone humide sensible, pollution. Un projet dispendieux pour un petit nombre de propriétaires de bateaux et non pour l’ensemble de la population, basé sur des estimations économiques douteuses. 1 millions de visiteurs ???? Qui viendra visiter un port de ce type ? Croyez-vous qu’un touriste hollandais descendant vers le sud s’arrêtera à Anse pour visiter le port ??? NON à ce projet d’un autre age !! Frédéric Fabre
Entre Les Roches de Condrieu
Entre Les Roches de Condrieu et Macon il y a près de 100 km et pas de port permettant d’accueillir des bateaux à l’année. Ce projet me parait très intéressant et quoi qu’en pensent certains, les gens qui naviguent préfèrent le contact avec l’eau et la nature plutôt que celui des autoroutes et des hôtels pour passer leurs vacances. Il y en a même qui vivent sur leur bâteau pour raison d’économie. Ce ne sont pas des millionaires mais seulement des personnes qui font un choix de vie.
Je suis absolument contraire à
Je suis absolument contraire à ce projet. Ce n’est plus l’époque où on peut ignorer les dégâts que nous humains provoquons à la nature, et pas du tout soutenable de détruire des ha de milieux naturels et de biodiversité juste pour la « plaisir » d’une minorité aveugle et privilégiée qui a envie de se balader en hors bord ou jet ski sur la Saône – en ajoutant encore de la pollution de l’air, de l’eau et sonore dont franchement ni les citoyens et riverains du val de Saône ni la faune et flore locale qui essaie tant bien qu mal de survivre… 👎
u projet murement réfléchi, un
u projet murement réfléchi, un atout pour le renforcement de la navigation fluviale, gage de vigilance pour la préservation du fluvial, un atout économique et touristique pour le Bordelan et au delà pour l’espace métropolitain et régional.
Un espace naturel de détente et de bord de l’eau précieux pour toutes les générations.
Allons tous ensemble de l’avant. les grincheux permanents sont insupportables! Avec mon soutien plein et entier.
Bonjour je trouve inacceptable qu
Bonjour je trouve inacceptable qu à notre époque on sacrifié encore des zones naturelles telle que celle du bordelan !
Préservons plutôt la biodiversité qui y est installée
Je suis pour ce projet
Je suis pour ce projet qui je pense sera réaliseé dans le respect de l environnement avec des solutions techniques adaptées et écologiques. Ce sera aussi l occasion de créer des emplois et de développer les commerces aux alentours. De plus je pense qu il faudra simplement avantager les plaisanciers à basculer sur des motorisations électriques avec bornes de recharge adaptées. Pour conclure un projet ambitieux et qui a du sens.
Je suis pour ce projet
Je suis pour ce projet qui donnera de la vie a cette région
Rappelez vous que les Ecologistes ont toujours été contre les projets utiles pour des raisons politiques
La liaison Rhin Rhône qui aurait évité beaucoup de transport par camion
La centrale atomique de Crey-Malville qui aurait pu être utile pour la recherche et l’élimination des déchets radio actif
L’arrêt de l’entretien des centrales atomiques existantes etc
Jean cudraz
Pas facile de mettre tout
Pas facile de mettre tout le monde d’accord et surtout pas de rivalité entre ceux qui possèdent un bateau et les autres mais il faut bien que les embarcations puissent s’amarrer.
Bien a vous
Il faut absolument abandonner ce
Il faut absolument abandonner ce projet qui ne va absolument pas dans le sens d’une orientation environnementale respectueuse des milieux et de ses hôtes naturels .
Pour un enjeu économique très incertain vu l’offre déjà présente …
Enfin, pour le développement touristique
Enfin, pour le développement touristique de la région et du
tourisme fluvial, cette réalisation permettra de créer de nouveaux emplois tout en gardant un endroit ludique.
Le département du Rhône manque cruellement de places .
Création d’emplois, développement économique
Création d’emplois, développement économique pour cacher l’étendu des dégâts environnementaux.De plus en plus de loisirs pour occuper les braves gens afin qu’ils ne se préoccupent pas des vraies questions de survie et n’entravent pas les décisions politiques.
Que faire pour éviter aux élus d’être soudoyés par les lobbies du béton?
Projet inacceptable à tout point
Projet inacceptable à tout point de vue. Une aberration écologique et économique !
On entend à longueur de journée l’importance de préserver des zones humides, préserver la biodiversité et diminuer l’artificialisation des espaces naturels et ce projet propose tout l’inverse.
De plus, investir une telle somme d’argent public pour la jouissance d’un petit nombre de citoyens privilégiés est parfaitement inacceptable. Les retombées économiques ne seront jamais à la hauteur du désastre écologique.
Non, non et NON !!
Arrêtons d’agir de manière aussi irréfléchi par rapport à notre environnement !
Fondamentalement contre ce projet de
Fondamentalement contre ce projet de port, mégalo et anachronique au regards des enjeux climatiques et environnementaux actuels. Un projet qui ne profitera qu’à une minorité aisée de propriétaires de bateaux et non à l’ensemble de la population. 1 millions de visiteurs ???? Qui viendra visiter un port abritant de petits bateaux à moteur ? Pensez-vous qu’une famille hollandaise descendant dans le sud de la France s’arrêtera pour visiter le port ??? Cherchez une alternative respectueuse de l’environnement et profitable au plus grand nombre !!!!!!
La saone,un temps merveilleuse rivière,lieu
La saone,un temps merveilleuse rivière,lieu de vie,de sports nautiques et importante ressource piscicole,est devenue peu à peu une sorte d’égout à ciel ouvert.si cet état de fait semble être partiellement corrigé,la voila convoitée par des affairistes rêvant d’en faire une pataugeoire pour oisifs irresponsables(pour ne pas dire ….!) Insulter la nature c’est insulter nos enfants et les générations futures.Retrouvons un peu de dignité, ARRÊTONS LE MASSACRE!!!
Une aberration ce projet !Une
Une aberration ce projet !
Une destruction d’espace naturel, une de plus …..
Inutile de dire que je suis opposée à cette idée
Ce projet est complètement
Ce projet est complètement déconnecté des enjeux de société actuels : artificialisation des sols, enjeux climatiques, de surconsommation, de « sur tourisme ». Projet d’un autre temps qui laisse présager beaucoup plus d’inconvénients que d’améliorations en terme de qualité de vie.
Halte à la destruction des milieux humides favorables à la biodiversité et à la protection des oiseaux. Halte à la pollution.
Tant pis pour les propriétaires de bateaux! Tant pis pour les retombées économiques que ce projet fait miroiter.
Je suis contre ce projet.
Bonjour,Il me semble que ce
Bonjour,
Il me semble que ce projet est indispensable pour l’aglomération de lyon qui n’a pas de port plaisancier.
Je suis donc tres favorable sous réserve de bien prendre en
compte les contraintes environementales
En 2024, artificialiser plus de
En 2024, artificialiser plus de 20 ha de zone semi-humide pour permettre à des gens riches de faire joujou avec des bateaux à moteur est complétement anachronique au regard des enjeux climatiques et de l’effondrement de la biodiversité.L’impact carbone de ce projet n’est pas évalué..il va profiter à une poignée de privilégiés au détriment de la majorité de la population….le tout avec des millions d’euros d’argent public. Pollution de l’eau, de l’air, nuisances sonores…Merci de nous épargner cela.
Je suis contre Parce que
Je suis contre Parce que ce projet est contraire aux actuels enjeux climatiques et de biodiversité et que 39,5 millions d’euros d’argent public sont investis pour quelques personnes au détriment de milliers d’autres 🤦♀️
Je pense que ce projet
Je pense que ce projet rentre parfaitement dans la liste des « Grands Projets Inutiles » et qu’il est d’un autre temps quant à la réflexion sur les enjeux : destruction d’un espace naturel et d’une zone humide, travaux très impactants et à forte empreinte carbonne, réalisation destinée à un public très restreint et à forts moyens financiers, vulnérabilité face aux changements dûs au dérèglement climatique, etc.
En un mot comme en cent : je suis contre !!!
Bonjour, je suis complètement opposé
Bonjour, je suis complètement opposé à ce projet écocide qui est un projet d’un autre temps et qui ne s’inscrit pas dans le contexte d’urgence climatique et de sauvegarde de la biodiversité actuel. D’un intérêt très mineur pour l’emploi et le développement de la ville, ce projet ne servira que de terrain de jeu à une clientèle très aisée et complètement déconnectée des enjeux climatique.
Je ne vois pas l’utilité
Je ne vois pas l’utilité d’un tel projet .
Projet complètement irresponsable par rapport aux enjeux environnementaux et préoccupations du moment.
Tout ça pour des bateaux à moteurs pour créer encore plus de pollution,de bruit…pour quelques riches en manque d’occupation.
Irresponsable de la par des politiciens locaux de porter un tel projet.
Laissons tranquille la nature et la biodiversité.
On va nous dire que s’est pour créer des emplois…faux…de toute façon nous sommes sur un secteur de pleine emploi.
La preuve, les entreprises peinent à trouver des collaborateurs,alors arrêtez le carnage!
Halte au bétonnage,au projet mégalo du maire de Anse et aux caprices de bourgeois